Harcèlement sexuel, séquestration des danseuses etc... sont les griefs formulés par ces demoiselles. Un peu plus tard, trois d’entre elles vont se rétracter. Il se raconte aujourd’hui qu’une seule danseuse, tient coûte que coûte à faire couler Koffi.Dans le souci de trouver une solution au problème de Koffi, qui serait frappé d’une mesure d’interdiction en Europe pour avoir, entend-on souvent, commis des voies des faits sur ses ex danseuses, un confrère de la RTNC a initié une collecte des signatures.
Le confrère et ses collaborateurs font la ronde de certains coins de la capitale pour récolter des signatures.
Au cas, où ils parvenaient à rassembler plusieurs milliers des signatures, ils vont se rendre au ministère des Affaires Etrangères qui se chargera alors de transmettre cette pétition aux autorités consulaires françaises accréditées en RDC.
Ronsard et ses amis espèrent en définitive voir la justice française avoir une autre perception de cette histoire. Ces informations émanent de Ronsard Ngoma.
Ce confrère a précisé au Phare que le big boss de Quartier Latin n’est pas mêlé à cette histoire de pétition. Ayant été « bousculé » par des confrères d’autres pays africains qui n’ont pas une version correcte des faits, il s’est décidé à les éclairer. Tout en initiant la collecte des signatures.
Et comme, il a sont encore au début, la moisson n’est pas encore abondante. Toutefois, ils espèrent qu’ils vont se rattraper d’ici peu. On retiendra de ce triste feuilleton qu’il a commence vers 2006.
A l’époque, le Quartier Latin se rend en Europe et apprête l’album « Danger de mort ». Quatre danseuses de Quartier Latin, probablement obsédées à l’idée de s’établir en Europe, portent plainte contre leur employeur.
En agissant de cette manière, elles étaient sûres devoir leur « message » être bien capté. El par la même occasion s’établir en Europe, entend-on aujourd’hui dans le milieu de Quartier Latin.
Harcèlement sexuel, séquestration des danseuses etc... sont les griefs formulés par ces demoiselles. Un peu plus tard, trois d’entre elles vont se rétracter.
Il se raconte aujourd’hui qu’une seule danseuse, tient coûte que coûte à faire couler Koffi. Et serait instrumentalisée par ses géniteurs. C’est donc un dossier à suivre.