Quand il n'y aura plus rien que tout le reste, c'est qu'on aura enfin bousillé l'essentiel.
Ce parasite commun, aussi con que le ciel que dieu et l'urticaire et la chiasse et la peste! C'est alors, -et youpi!- qu'abreuvés de matière en bouffant comme des vaches,on vivra du sourire! Et du glouglou somptueux: nous serons incongrus,
férocement joviaux , joyeux et même pire! Et la ventralité, la repaison superbe, tagada et tsoin-tsoin, mèneront la musique dans une paix splendide, excessivement belle. Eventuellement l'amour deviendra possible...