Olivier Huart, PDG de TDF, expert en diffusion audiovisuelle et concepteur de réseaux télécoms, déclare qu'une mutualisation du réseau 4G très haut débit avec les opérateurs télécoms serait indispensable pour régler les problèmes de réseau saturé.
Dans l'interview que le PDG de TDF a accordé à Reuters, il affirme que TDF était en pourparlers avec plusieurs opérateurs télécoms en tant que partenaire éventuel pour une mutualisation des fréquences 4G. Une mise aux enchères par l'Etat aura lieu au début de 2011 concernant ces fréquences, certainement en quatre blocs de cinq ou dix mégahertz.
" Il est clair aujourd'hui qu'il y aura tôt ou tard mutualisation. Pour être au top de l'efficacité, il faut plus que cinq mégahertz. Pour avoir l'équivalent du haut débit fixe, il faut des bandes de fréquence assez larges ", a déclaré Olivier Huart.
Sur fond de débat sur les conditions d'attribution de ces fréquences, notamment sur le prix de réserve et les obligations de couverture du territoire, les opérateurs se disent intéressés par la 4G, mais s'interrogent sur la meilleure stratégie à adopter pour éventuellement enchérir.
France Télécom, SFR, Bouygues et Iliad attendent de connaître les conditions de l'appel d'offres pour ces fréquences, qui permettent de transmettre des données plus rapidement sur les réseaux mobiles.
L'un des scénarios possibles verrait plusieurs opérateurs se partager des fréquences après leur attribution.
Olivier Huart, PDG de TDF, expert en diffusion audiovisuelle et concepteur de réseaux télécoms, déclare qu'une mutualisation du réseau 4G très haut débit avec les opérateurs télécoms serait indispensable pour régler les problèmes de réseau saturé.Dans l'interview que le PDG de TDF a accordé à Reuters, il affirme que TDF était en pourparlers avec plusieurs opérateurs télécoms en tant que partenaire éventuel pour une mutualisation des fréquences 4G. Une mise aux enchères par l'Etat aura lieu au début de 2011 concernant ces fréquences, certainement en quatre blocs de cinq ou dix mégahertz.
" Il est clair aujourd'hui qu'il y aura tôt ou tard mutualisation. Pour être au top de l'efficacité, il faut plus que cinq mégahertz. Pour avoir l'équivalent du haut débit fixe, il faut des bandes de fréquence assez larges ", a déclaré Olivier Huart.
Sur fond de débat sur les conditions d'attribution de ces fréquences, notamment sur le prix de réserve et les obligations de couverture du territoire, les opérateurs se disent intéressés par la 4G, mais s'interrogent sur la meilleure stratégie à adopter pour éventuellement enchérir.
France Télécom, SFR, Bouygues et Iliad attendent de connaître les conditions de l'appel d'offres pour ces fréquences, qui permettent de transmettre des données plus rapidement sur les réseaux mobiles.
L'un des scénarios possibles verrait plusieurs opérateurs se partager des fréquences après leur attribution.