Ces tremblements de terre qui nous interpellent. Pamphlet.

Publié le 21 décembre 2010 par Raymond_matabosch

Le tremblement de terre le plus important depuis ceux qui ont frappé Valdivia, - Chili, 22 Mai 1960, magnitude 9.5, épicentre près de Valdivia à environ 700 kilomètres au Sud de Santiago , et Prince William Sound, région d’Anchorage, - Alaska, États Unis, 27 Mars 1964, magnitude 9.2, épicentre situé à environ 90km à l'Ouest de Valdez et 120 à l'Est d'Anchorage et à une profondeur de 25 km, d'une durée de 4 minutes -, est survenu le dimanche 26 Décembre 2004 à 00 h 59, Temps Universel, 07 h 59, heure locale, au Sud-Ouest de Sumatra, - magnitude de 9.3, hypocentre localisé à 160 kilomètres à l'ouest de Sumatra et à environ 250 km au Sud-Sud-Est de Banda Aceh, à une profondeur de 30 kilomètres, 270.000 morts ou disparus. la Thaïlande, le Sri-lanka, l'Inde, la Malaisie, les îles Maldives, le Bangladesh, Singapour, La Somalie, l'île de la Réunion, l'Île Maurice -. Il s’agit du cinquième séisme le plus violent depuis 1900. Le tsunami, provoqué par cet aléa séismique, a touché les côtes de plusieurs pays, - -, et s’est avéré plus meurtrier que les vibrations induites directement par le séisme.

Et, depuis, comme une longue litanie, s'égrainent les séismes de forte intensité, magnitude supérieure à 7 sur l'échelle ouverte de Richter : 28 Mars 2005, Sumatra en Indonésie, magnitude 8.7, 905 morts ; 13 Juin 2005, Chili, magnitude 7.9, 11 morts ; 25 Septembre 2005, Pérou, magnitude 7.5, 5 morts : 8 Octobre 2005, à la frontière entre l'Inde, le Pakistan et l'Afghanistan, de magnitude 7,6, 75.638 morts et 71.690 blessés ; 23 Février 2006, Mozambique, magnitude 7.5, 2 morts : 3 Mai 2006, Iles Tonga, magnitude 8.1 ; 17 Juillet 2006, Île de java, magnitude 7.7, 983 morts et 978 blessés ; 2 Avril 2007, Iles Salomon, magnitude 7.7, 52 morts : 15 Août 2007, Pérou, magnitude 7.7, 913 morts ; 12 Septembre 2007, Sumatra, magnitude 8.4, 23 morts et 88 blessés ; 14 Novembre 2007, Chili, magnitude 7.7, 2 morts ; 29 Novembre 2007, Martinique, magnitude 7.4 ; 14 Février 2008, Indonésie, magnitude 7.4, 3 morts; 12 Mai 2008, Sichuan, Chine, magnitude 7.9, 87.587 morts et 374.177 blessés ; 15 Juin 2008, Japon, magnitude 7.2, 22 morts ; 16 Novembre 2008, Sulawesi, Indonésie, magnitude 7.5, 2 morts et 40 blessés ; 3 Janvier 2009, Papouasie, Indonésie, magnitude 7.6, 5 mort ; 28 Mai 2009, Honduras, magnitude 7.1, 7morts ; 15 Juillet 2009, Nouvelle-Zélande, magnitude 7.8 ; 2 Septembre 2009, Île de Java, magnitude 7.0, 42 morts et 300 blessés ; 30 Septembre 2009, Padang, Indonésie, magnitude 7.6, au moins 5.000 victimes ; 12 Janvier 2010, Haïti, magnitude 7.0, plus de 200.000 morts et 300.000 blessés recensés au 4 Février 2010 ; le 27 Février 2010, au large des côtes chiliennes, magnitude 8.8, 521 morts... etc... etc...

Ainsi pourrait-on décliner tous les tremblements de terre, année par année, le répertoire de tous les séismes, de magnitude supérieure à 3, qui se produisent sur la planète. Le listing en serait interminable avec plus de 174.000 de moyenne annuelle dans le monde dont 88 pour le territoire métropolitain français. Mais, faisant suite au séisme qui avait frappé, le 12 Mai 2008, Sichuan, Chine, magnitude 7.9, recensant 87.587 morts et 374.177 blessés, le tremblement de terre qui a dévasté Haïti, laissant dans son sillage un terrible bilan humain, a d'autant plus surpris la population mondiale. Et les interrogations vont bon train. Certes une majorité d'entre elle est convaincue de la réalité intrinsèque des catastrophes naturelles, mais une minorité pernicieuse en appelle, elle, à la perversité humaine en accusant le réchauffement climatique, le culpabilisant des mille maux et l'intronisant « ennemi numéro 1. » Et pires encore sont les fanatiques extrémistes irréductibles du « Complot Mondial » et de la « Pensée Unique » qui désignent ouvertement, dressant accusation irréfutable à l'encontre des nations russes, américaines, etc..., de posséder des armes sismiques de type PAMIR et SURA, - URSS et Russie -, PAMIR 3 et HAARP, - États Unis -, SEAL, - Royaume Uni et Nouvelle Zélande -, etc..., et d'en user expérimentalement tant au plan militaire que civil.

Mais que savons nous, présentement, outre les bruits nauséeux qui courent, sur l'arme sismique(1) ? Si l'on en croit Thierry Meyssan(2), analyste politique français, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace : « Durant la Seconde Guerre mondiale des chercheurs néo-zélandais tentèrent d’élaborer une machine à provoquer des tsunamis qui pût être utilisée contre le Japon. Les travaux furent dirigés par l’Australien Thomas Leech de l’université d’Auckland, sous le nom de code « Projet Seal ». Plusieurs expériences à petite échelle furent réalisées, en 1944-1945, à Whangaparaoa. Elles furent, toutes, couronnées de succès. Les États-Unis considéraient ce programme comme aussi prometteur que le projet de fabrication d’une bombe atomique, le « projet Manhattan ». Ils désignèrent le docteur Karl T. Compton pour faire la liaison entre les deux unités de recherche. Compton était le président du MIT. Il avait déjà recruté de nombreux savants pour l’effort de guerre et il était l’une des huit personnes chargées de conseiller de président Truman sur l’usage de la bombe atomique. Il pensait que celle-ci pouvait fournir l’énergie nécessaire à l’équipe de Leech pour provoquer de plus vastes tsunamis. Les travaux de Thomas Leech furent poursuivis durant la Guerre froide. En 1947, George VI éleva le savant à la dignité de Chevalier de l’Empire britannique pour le récompenser d’avoir élaboré une arme nouvelle. Le Projet Seal étant toujours un secret militaire, il ne fut pas révélé à l’époque qu’il était honoré pour la bombe à tsunami. Par la suite, les services US se sont appliqués à faire croire que ces recherches n’avaient jamais existé et que tout cela n’était qu’un leurre pour impressionner les Soviétiques. Cependant, l’authenticité des essais de Leech a été établie, en 1999, lorsque une partie de la documentation a été déclassifiée par le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères. Officiellement les études ont repris aujourd’hui à l’université de Waikato(3). On ignore si les recherches anglo-saxonnes ont été poursuivies durant les années 60, mais elles ont repris par la force des choses lorsqu’il fut décidé de procéder à l’abandon des tests nucléaires dans l’atmosphère au profit de tests sous-marins. Les Etats-Unis craignaient de provoquer involontairement des tremblements de terre et des tsunamis. Ils voulaient donc savoir le faire volontairement. Officiellement, à la fin de la guerre du Vietnam, les Etats-Unis et l’Union soviétique ont renoncé aux guerres environnementales, - tremblements de terre, tsunamis, bouleversement de l’équilibre écologique d’une région, modifications des conditions atmosphériques, « nuages, précipitations, cyclones et tornades », modification des conditions climatiques, des courants océaniques, de l’état de la couche d’ozone ou de l’ionosphère -, en signant, en 1975, la « Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles. » Toutefois, à partir de 1975, l’URSS a ouvert de nouvelles recherches de Magnétohydrodynamique. Il s’agissait d’étudier la croute terrestre et de prévoir les séismes. Les Soviétiques étudièrent la possibilité de provoquer de petits séismes pour en éviter un grand. Ces recherches furent bientôt militarisées. Elles aboutirent à la construction de Pamir, la machine à tremblement de terre. Lors du démantèlement de l’URSS, des responsables de ce programme décidèrent par appât du gain de passer aux Etats-Unis, mais leur recherche étant inachevée le Pentagone refusa de payer. En 1995, alors que la Russie était gouvernée par Boris Eltsine et l’oligarque Viktor Tchernomyrdine, l’US Air Force recruta les chercheurs et leur laboratoire à Nijni Novgorod. Ils y construisirent une machine beaucoup plus puissante, Pamir 3, qui fut testée avec succès. Le Pentagone achèta alors les hommes et le matériel et les transporta aux USA, où ils furent intégrés au programme HAARP. De possibles usages de l’arme sismique ont été évoqués au cours des dernières années, notamment en Algérie et en Turquie. Toutefois, le cas le plus discuté est celui du séisme du Sichuan, - Chine -, le 12 Mai 2008. Durant les 30 minutes précédant le tremblement de terre, les habitants de la région ont observé d’inhabituelles couleurs dans le ciel. Si certains voient dans ces événements des signes du Ciel retirant sa confiance au Parti communiste, d’autres les interprètent de manière plus rationnelle. L’énergie utilisée pour provoquer le séisme aurait également provoqué des perturbations de l’ionosphère. Dans les mois qui suivent, le web et les médias chinois diffusent et discutent cette hypothèse aujourd’hui considérée comme certaine par l’opinion publique chinoise. Rien ne distingue un séisme provoqué d’un séisme naturel, cependant on ne sait provoquer que des séismes superficiels, comme celui d’Haïti. Ce qui suscite le trouble, c’est que la réaction des États-Unis. Alors que les médias atlantistes se contentent de relayer la polémique sur les violations de la souveraineté haïtienne, les médias latinos-américains s’interrogent sur la rapidité du déploiement des GI’s : dès le premier jour, plus de 10.000 soldats et contractants sont arrivés à Haïti. Cet exploit logistique s’explique simplement. Ces hommes étaient déjà pré-positionnés dans le cadre d’un entraînement militaire. Sous l’autorité du commandant en second du SouthCom, le général P. K. Keen, ils participaient à la simulation d’une opération humanitaire, à Haïti, après un ouragan. Keen et son équipe étaient arrivés quelques jours auparavant. Au moment précis du tremblement de terre, ils se trouvaient tous à l’abri, à l’ambassade US qui est construite selon les normes anti-sismiques, à l’exception de deux hommes qui se trouvaient à l’hôtel Montana et qui auraient été blessés. Le général Keen a donné de nombreuses interviews à la presse états-unienne, qui a multiplié les reportages et émissions à propos des opérations de secours. Il a souvent fait mention de sa présence à Port-au-Prince durant le séisme, mais jamais des motifs de cette présence. Parmi les objectifs de l’exercice militaire figurait le test d’un nouveau logiciel permettant de coordonner les efforts humanitaires des Organisations Non Gouvernementales, - les ONG -, et des armées. Dans les minutes qui ont suivi la catastrophe, ce logiciel a été mis en ligne et 280 ONG s’y sont inscrites. Il est légitime de se demander si ces coïncidences sont ou non l’effet du hasard. »

Mais laissons là les supputations, frisant l'irrationnel et l'inhumanité dont font preuve les âmes haut-pensantes scientifiques, militaires et politiques de certaines nations dites civilisées, sur la probabilité d'existence de séismes provoqués même si de troublantes et dérangeantes coïncidences interpellent. Si tel en a été, en est et en sera dans la réalité, il est à concevoir que la folie anthropomorphique géopoliticienne n'a pas de limites quant il s'agit de fabriquer des espaces économiques, militaires, religieux, etc... par la puissance et par l'usage de la violence sur les autres États dans un cadre impérialiste ou par toute autre forme de domination inter-étatique, ou de fabriquer des espaces, au travers de normes, de lois, de pseudo-harmonisation, etc... par le dépassement de la puissance. A trop vouloir régner en maîtres absolus sur l'univers terrestre, et au-delà sur la galaxie, en arriveront-ils, jouant aux apprentis sorciers, à déclencher un véritable « Big-One » destructeur d'un continent en son entier, et, par cela, rendre véritable fait historique antédiluvien la si décriée légende de l'Atlantide ? N'est-il pas écrit, dans le Timée de Platon : « Dans le temps qui suivit, il y eut des tremblements de terre effroyables et des cataclysmes... » et, s'enchaînant, « Dans l'espace d'un seul jour et d'une nuit terribles, toute votre armée fut engloutie d'un seul coup sous la terre et, de même l'île Atlantide s'abîma dans la mer et disparut. » ? A méditer...

Sans qu'il ne soit fait appel à l'aliénation mentale destructrice et criminelle de maints scientistes extrémistes, il n'est qu'à se rappeler qu'il existe pourtant de vastes régions qui présentent une activité sismique non négligeable, certaines en permanence sous les feux de l'actualité, - Faille de San Andréas, Faille Liquiñe-Ofqui, Faille de Sumatra, Faille Nord-Anatolienne... -, et d'autres, quasi inconnues et rarement évoquées, - Faille New-Madrid, Rift d'Olot... -. Par la présente étude, tous les sites que les géologues classent parmi les régions qui pourraient être le théâtre d'un séisme de forte intensité et d'une catastrophe à la grandeur d'un pays, voire d'un continent, seront, les uns après les autres, particularisés, disséqués, analysés et classifiés suivant l'importance et l'ampleur des risques encourus dans le cadre d'un aléa séismique pouvant se traduire ou non par un « Big-One. » « The Big-One », marque déposée à en croire, est le nom revendiqué, par les californiens, pour un tremblement de terre cataclysmique et exterminateur qui devrait survenir, un jour, sur la côte Ouest des États-Unis. Le dernier grand séisme s'étant produit en ces terres, en 1906, avait été provoqué par la rupture d'un segment de la faille de San Andréas concomitante à l'écartement, de quelques 6 mètres, de deux plaques tectoniques, les plaques Nord-Américaine et Nord-Pacifique. A en croire des géologues spécialistes des prévisions séismiques généralistes, sans datation affinée ni de point épicentrique défini, le phénomène se reproduirait périodiquement, tous les 100 ans...


Notes.

(1) « Les Etats Unis ont-ils provoqué le tremblement de terre à Haiti ? », Réseau Voltaire, 22 Janvier 2010.

Selon « Russia Today », - chaîne de télévision d'information continue et site Internet d'information continue russe -, le président du Venezuela, Hugo Chávez Frías, a évoqué la possibilité que les États-Unis aient provoqué la série de tremblement de terre de la semaine dernière aux Caraïbes, dont celui qui a dévasté Haïti. Selon « VivéTv », - chaîne de télévision informative, culturelle et éducative vénézuélienne -, ce sont les armées russes qui ont évoqué cette éventualité. Quoi qu’il en soit, le Venezuela, la Bolivie et le Nicaragua ont demandé la convocation en urgence du Conseil de sécurité. Celui-ci devrait examiner ces imputations et l’invasion « humanitaire » d’Haïti par les troupes des États Unis.

« Un rapport de la flotte russe du Nord indiquerait que le séisme qui a dévasté Haïti est clairement « le résultat d’un essai par l’US Navy de son arme sismique. La Flotte du Nord observe les mouvements et activités navales états-uniennes dans les Caraïbes depuis 2008, lorsque les Etats-Unis annoncèrent leur intention de reconstituer la Quatrième flotte dissoute en 1950. La Russie y avait répondu un an plus tard en reprenant dans cette région les exercices de sa flotte constituée autour du croiseur atomique lance-missiles Pierre le Grand, interrompus depuis la fin de la Guerre froide. Depuis la fin des années 70, les États-Unis ont considérablement avancé leurs recherches sur les armes sismiques.

Selon ce rapport, ils utilisent désormais des générateurs impulsionnels, à plasma et à résonance combinés à des bombes à onde de choc. Le rapport compare deux expériences conduites par la marine des États Unis, la semaine dernière : un tremblement de terre de magnitude 6,5 alentour de la ville d’Eureka en Californie, qui n’a pas fait de victimes, et celui des Caraïbes qui a fait au moins 140.000 morts.

Ainsi que l’indique le rapport, il est plus que probable que l’US Navy avait une pleine connaissance des dommages que cette expérience était susceptible de causer à Haïti. C’est pourquoi, la Navy avait positionné à l’avance sur l’île le général P. K. Keen, commandant en second du SouthCom, - Commandement du Sud -, pour superviser les opérations de secours prévisibles(4).

Concernant l’objectif final de ces expérimentations, indique le rapport, il s’agit de la planification de la destruction de l’Iran par une série de tremblement de terre afin de neutraliser l’actuel gouvernement islamique.

Selon le rapport, le système expérimental des Etats-Unis, - High frequency active auroral research program, dit « HAARP » -, permet également de créer des anomalies climatiques afin de provoquer des inondations, des sécheresses et des ouragans(5). Selon un rapport précédent, les données disponibles coïncident avec celles du tremblement de terre de magnitude 7,8 sur l’échelle de Richter survenu au Sichuan (Chine), le 12 mai 2008, également causé par des ondes électro-magnétiques HAARP.

On observe une corrélation entre les activités sismiques et la ionosphère, caractéristique de HAARP :

« 1. Les tremblements de terre dans lesquels la profondeur est linéairement identique dans la même faille, sont provoqués par une projection linéaire de fréquences induites.

« 2. Des satellites coordonnés permettent d’engendrer des projections concentrées de fréquences dans des points déterminés ou Hippocampes.

« 3. Un diagramme montre que des tremblements de terre considérés comme artificiels se propagent linéairement à la même profondeur.

Localisation

Date

Profondeur

Venezuela

08Janvier2010

18Janvier2010

10 km

10 km

Honduras

11Janvier2010

10 km

Haïti

12Janvier2010

nombreuses répliques

20Janvier2010

nombreuses répliques

26Janvier2010

10 km

10 km

10 km

10 km

10 km

« Les répliques ont également été observées aux environ de 10 km de profondeur. Après le tremblement de terre, le Pentagone a annoncé que le navire hôpital USNS Comfort, qui se trouvait ancré à Baltimore, a rappelé son équipage et fait cap vers Haïti, bien qu’il puisse s’écouler quelques jours jusqu’à l’arrivée du bateau. L’amiral Mike Mullen, chef d’état-major interarmes, a déclaré que les Forces armées des États-Unis préparaient une réponse d’urgence au désastre.

Le général Douglas Fraser, commandant en chef du SouthCom, a indiqué que des bâtiments des Gardes-côtes et de la Navy ont été dépêchés sur place, bien qu’ils aient du matériel et des hélicoptères en nombre limité.

Le porte-avions polyvalent USS Carl Vinson a été envoyé de Norfolk, État de Virginie, avec une dotation complète d’avions et d’hélicoptères. Il est arrivé à Haïti le 14 janvier après-midi, a ajouté Fraser. Des groupes additionnels d’hélicoptères se joindront au Carl Vinson, a t-il poursuivi. L’Agence des États-Unis pour le Développement International, - USAID -, intervenait déjà à Haïti avant le séisme

Le président Obama a été informé du tremblement de terre à 17 h 52, le 12 janvier, et a ordonné le secours au personnel de son ambassade et l’aide humanitaire nécessaire à la population

Conformément au rapport russe, le département d’État, l’USAID et le SouthCom ont débuté l’invasion humanitaire en déployant 10 000 soldats et contractants, à la place de l’ONU, pour contrôler le territoire haïtien après le « tremblement de terre dévastateur expérimental. »

Sources : ViveTv, Venezuela.

(2) « Haïti et l’arme sismique ? », Réseau Voltaire, 25 Janvier 2010. Thierry Meyssan, Analyste politique français, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace

(3) « Tsunami bomb NZ’s devastating war secret » et « Devastating tsunami bomb viable, say experts », par Eugene Bingham, New Zealand Herald, 25 et 28 septembre 1999. « Experimental bomb to create huge tidal wave was tested in 1944 » par Kathy Marks, The Independent, 27 septembre 1999.

(4) Officiellement, les forces US étaient prépositionnées autour d’Haïti dans le cadre d’un exercice militaire simulant… une intervention humanitaire en Haïti. Cf. « Defense launches online system to coordinate Haiti relief efforts », par Bob Brewin, Govexec.com, 15 janvier 2010.

(5) « Le Programme HAARP : science ou désastre ? », par Luc Mampaey, Groupe de recherches et d’information sur la paix et la sécurité. Bruxelles, 1998.

Raymond Matabosch

Publié le 25 Novembre sur :