Et il fait suivre cet article de quelques pages qu’il présente comme des Rêves et précise : « j’ai toujours pensé qu’un roman était pareil à un rêve, qu’il sortait de la nuit et qu’il reconduisait à l’intérieur de celle-ci… »
Pour conclure, il écrit : « C’est la vieille évidence dont parle Shakespeare : nous sommes faits de l’étoffe de nos songes et notre existence n’est qu’un long sommeil. L’impossible nous appelle et, pour lui répondre, nous inventons en rêve. »
Le dernier des Rêves publié ici raconte une visite à l’éditeur où l’auteur déborde en quelque sorte d’une encre noire qui recouvre tout et que la foudre soudain incendie tandis qu’une voix dit : « Père, père, ne vois-tu pas que je brûle ? »