J’ai aimé...
- que la communication interne s’appuie de plus en plus sur des évaluations suivies qui s’adressent au management et au non management : enquêtes et autres baromètres internes qui nous sont transmis en appui de comité de rédaction ou nouvelle formule (Total, Danone, Fnac…) et dont les résultats sont désormais vraiment pris en compte.
- L’émulation print-Web et notamment la réflexion menée par de nombreux titres de presse pour lutter contre "l’internetisation" exclusive de l’information : nouvelles formules ou complémentarité entre les titres vendus en kiosque et les titres.fr (Figaro, Le Monde, Libération et toujours les gratuits eux-mêmes présents sur la Toile) sans parler des hebdos. La presse restant une "grande" source d’inspiration pour la presse corporate.
Je n’ai pas aimé ou pas beaucoup...
- l’opacité des règles du jeu sur certaines consultations de la part d’agences (très) globales qui exercent un chantage (c’est tout ou rien) ou de prospects/clients qui ne jouent pas cartes sur table (critères de sélection et leur pondération, contrat sans engagement, etc.)
- la politique du "travailler plus pour gagner moins" demandée par des services achats de plus en plus durs, certes eux-mêmes soumis à une pression de réduction des coûts ! Mais il est difficile de maintenir les mêmes ressources et qualités (éditoriale et graphique) en baissant chaque année le budget de 20 à 30 % depuis 3 ans !
J’attends de voir…
- quelles incidences peut avoir l’évolution de la gouvernance politique sur la gouvernance économique : plus de people ? plus d’image ? plus de notation du management ? plus d’ouverture ? et les évolutions que cela pourrait engendrer sur la communication interne…
- quels enseignements peut tirer et mettre en œuvre l’entreprise du Web 2.0 - déjà enterré aux Etats-Unis au profit du Web 3.0 alors que je viens à peine d’en comprendre toute l’envergure - et de la montée en puissance des réseaux communautaires...