Electric Light Orchestra Part 2 #2-One Night-1996

Electric Light Orchestra Part 2 #2 :

Bev Bevan : batterie

Eric Troyer : chant, claviers

Kelly Groucutt : chant, basse

Mik Kaminsky : violon

Phil Bates : chant, guitare

Louis Clark : claviers

En mai 1996, la tournée d'ELO Part 2 passe par l'Australie, où le groupe va enregistrer un double album live :"One Night-Live In Australia".

Standin’ in the rain (Lynne)

Evil woman (Lynne)

Don’t wanna (Troyer)

Showdown (Lynne)

Can’t get you out of my head (Lynne)

Whiskey girls (Bevan-Bates)

Livin’ thing (Lynne)

One more tomorrow (Bevan-Kaminsky-Bates)

Mr Blue Sky (Lynne)

Telephone line (Lynne)

Ain’t necessarily so (Troyer)

The fox (Groucutt)

Strange magic (Lynne)

Sweet talking woman (Lynne)

Confusion (Lynne)

Do ya (Lynne)

Rockaria (Lynne)

Roll over Beethoven (Berry)

All fall down (Bevan-Bates)

Witness (Bevan-Bates)

Thousand eyes (Troyer)

Hold on tight (Lynne)

Turn to stone (Lynne)

Rock and roll is king (Lynne)

The last train to London (Lynne)

Don’t bring me down (Lynne)

Cet album, sortit également en version allégée, tient un peu de best of live des années Jeff Lynne mais contient tout de même deux titres inédits : "All fall down" et "Witness”.

Le groupe garde cette formation jusqu'en 1998 lorsque Phil Bates quitte le groupe, remplacé par Parthenon Huxley.

En 1999, le groupe est devenu une sorte de tribute band, jouant de moins en moins de morceaux originaux.

Déçu par la tournure des choses et le manque de succès, Bev Bevan quitte le groupe et annonce bientôt sa dissolution.

Il vend ses droits sur "Electric Light Orchestra" et "Electric Light Orchestra Part II" à Jeff Lynne, seul maître à bord désormais.

Les ex-ELO Part II engagent Gordon Townsend à la batterie et continuent sous le nom de ELO2 mais Jeff Lynne va les empêcher par voie légale d'utiliser le nom d'ELO. Ils se sont depuis rebaptisés "The Orchestra". En 2001, ils ont issu un album studio intitulé "No Rewind" très difficile à trouver. La même année Jeff Lynne met tout le monde d'accord avec un nouvel album d'Electric Light Orchestra. © Pascal Schlaefli Urba City Décembre 2010