Les fédés de chasse qui dispensent les consignes de sécurité aux viandards feraient mieux de s'abstenir car autant pisser dans un violon...On a l'impression qu'elles sont écrites en braille tellement ces derniers en font peu de cas.
Consignes de sécurité ou pas, ils n'en font qu'à leur tête. Les ont-ils jamais lues, entendues ? Si oui, c'est après le digestif alors.
Ils resteront toujours des dangers ambulants, qu'il vente ou qu'il mouille, poil à la grenouille. Et se flingueront mutuellement, poil au monument.
Tiens, lui !
Nous sommes à Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie.
Ce qu'il y a de curieux avec cette partie de la France, c'est qu'en hiver, elle est couverte de neige.
Ce viandard parcourait ainsi les sentes enneigées dimanche 19 décembre pour satisfaire sa pulsion de mort.
Sa sale besogne achevée, il rentra chez lui, faisant gaffe à ne pas glisser.
Son fusil n'était pas cassé...Faut pas déconner non plus. Et il y avait une balle engagée dans le canon...Soyons sérieux.
Il se vautra.
Il se tira dessus.
Très bobo à la cuicuisse.
Et comme d'hab', les hommes du PGHM ont été sollicités pour amener ce chasseur prudent à l'hosto de Chambéry.
Un petit tour en hélico pour finir le dimanche, c'est cool...