![mandalas Toutes mes blessures légères ou profondes sont des portes, où s’engouffre le monde (Carole Zalberg)](http://media.paperblog.fr/i/396/3962959/blessures-legeres-profondes-portes-sengouffre-L-YNx7W_.jpeg)
Il y a là sous la chair
entre les os fragiles
et les réseaux habiles
dans une profondeur
que les mots seuls éclairent
un lac sombre, un monde qui scintille,
d’homme en homme à la file
un fond de vies où j’erre,
où je plonge une et reviens mille
(Carole Zalberg)