Messieurs et Dames mon blog ne sera ni décoré pour les fêtes ni peuplé de santons et de bergers à moutons et d'amoureux sous un grand parapluie à l'abri de toutes les intempéries ni ronronnant aux yeux fermés par un trait à l'encre de chine, ni à la une du théâtre ou du cinéma. Il va se recroqueviller sur l'écrin des fêtes (et il y a beaucoup à dire sur l'exclusion que crée ces toujours mêmes fêtes religieuses à la base) et sur l'espoir quand aux découvertes sur encore tout ce qu'on a à explorer entre la théorie des cordes et les zones obscures du cerveau de l'une des espèces les plus agressives, l'homme. A ce propos les agressifs sont aussi dans les hiérarchies des entreprises même s'ils ne sont pas armés jusqu'aux dents avec des canachlikof.
Bon, je vais vous embrasser si vous passez par là où que vous soyez.
Parlez écrivez rendez-vous utiles ou pas décélérez prenez soin de vous car si on s'est rencontrés une fois je m'en souviens.
Vive tous les possibles et soyez amoureux par rêves et/ou dans la réalité.
Les rencontres les petites choses les grands projets et rester dignes ne pas se laisser traiter quelque soit son apparence de moins que rien...
Alors sinon nous allons voir les parents personnes âgées, et les quelques petits et les amis en attendant.
Au ciné je n'ai pas encore vu le nom des gens, une vie de chat, Raiponce, Potiche, de vrais mensonges,
et voilà qu'arrive les Émotifs anonymes. Au théâtre je n'ai pas encore vu au Lucernaire LE GORILLE ;
LA FOLLE EPOPEE DE STAN KOKOVITCH, ACTEUR ; MOI, CARAVAGE ; FRANCESCO...
j'en ai eu les meilleurs échos
et j'ai loupé carrément encore le 104 et Nicolas Bouchaud dans La loi du marcheur sur Serge Daney