Une réaction… Une émotion… Je reste marbre,
Mes yeux perdus aux coeurs d'images d'une ère palabres.
La solitude creuse l'être comme les racines d'un arbre,
Sur la terre brûler par cette société macabre.
Une réflexion… Une opinion… Je suis vendu !
Dans cette pièce sombre je deviens sage, l'égale statue.
Pour la quiétude du maître reflets d'un monde rendu,
Les hommes émulés se laissent végéter. Vois tu ?
Une impression… Une sensation… Je rends hommage !
Mes sens sont l'ombre d'une âme reçu chez maître mage.
La servitude se lettre telle les traits du visage,
Sur l'homme manipulé. Ecoutes-tu mon message ?
Une intuition … Une perception … Je platitude !
Dans la pénombre, je voie le mage des lassitudes.
Pour fuir la vu du maître l'homme à l'incertitude,
Recule. Hé ! Entends-tu ce pressage d'habitude ?
Une mutation… transformation… je veux paraître !
Mes jambes se cambrent loin des sillages pensées du maître.
La gratitude est lue qu'avec les hommes sans prêtre.
Ressens-tu les rouages d'un prélude à voir l'être ?
Une perdition ? Explication : Je simulais,
Dans mes vers obscures les dommages du poste télé.
Pour certitude ce maître est perdu. Oseras-tu
Abréger la vie prude de tous prêtres adulés.
Une Confession… révélation… Sans regretter,
Mes idées libres partent vers un age de toutes beautés,
La multitude à naître. Seras-tu lire la rage
Des mots rudes et peut-être stimuler ta liber…