Lorsque les voix de leur maître, BHL dans le Monde, Laurent Joffrin dans Libération et Philippe Val se prennent une déculottée , la presse, leur presse, n’en cause guère. Rappelez-vous de l’ « Affaire Siné », en 2008 et leur soumission benoîte au pouvoir de la censure. Siné était un raciste, antisémite qui devait s’excuser ou s’en aller…
« Jean Sarkozy, digne fils de son paternel et déjà conseiller général de l’UMP, est sorti presque sous les applaudissements de son procès en correctionnelle pour délit de fuite en scooter. Le Parquet a même demandé sa relaxe ! Il faut dire que le plaignant est arabe ! Ce n’est pas tout : il vient de déclarer vouloir se convertir au judaïsme avant d’épouser sa fiancée, juive, et héritière des fondateurs de Darty. Il fera du chemin dans la vie, ce petit ! »
Pour cette objectivité, Siné avait été licencié de Charlie Hebdo, sous couvert d’antisémitisme. L’hebdomadaire a été condamné cette semaine pour rupture abusive de contrat. En y remettant une couche « la médiatisation de la rupture et le caractère humiliant de son annonce apprise en même temps que les lecteurs par la publication du numéro du 16 juillet 2008, ont causé à Siné un préjudice moral qu’il convient d’indemniser en lui allouant la somme de 20 000 euros ».
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