Pour illustrer les propos précédents, je cherchais l’extrait hilarant et très bien vu de 2 Days In Paris où Julie Delpy évoque son voyage à Venise…
Dans l’extrait en question, elle explique que son amoureux a gâché quasiment tous les instants en les photographiant tous. Difficile de ne pas se reconnaître un peu dans ce passage… Difficile en effet de lâcher l’appareil quand on voyage, peur de perdre le moment, le souvenir, envie d’attraper le temps, et passer un peu à côté du vécu…
Dans l’extrait ci-dessus (qui est le tout début du film -hélas en langue anglaise), on voit dans le montage de la séquence des traces du matraquage obsessionnel du personnage…