Lara, pianiste, met au monde sa fille Maya bien avant terme. L’enfant est une grande prématurée. Lara est présente chaque jour à ses côtés dans ce combat pour la vie. Lui parler mais surtoutlui raconter, lui transmettre et lui insuffler la musique. Robert son mari s’éclipse devant cette relation. Les années ont passé, Maya est un enfant gaie, pétillante, une libellule qui joue de toute son âme du piano. Elles habitent avec Sofia, la mère de Lara, pianiste d’origine Russe.Sur la quatrième de couverture, il est indiqué : « Un conte polyphonique poignant qui explore les frontières entre rêve et folie, amour et douleur, art et réalité » et je suis totalement d’accord. Ils sont plusieurs à prendre la parole bien sûr Lara et Sofia les deux femmes de la maison puis Maya. Mais aussi Robert, l’époux qui sent impuissant devant la relation fusionnelle de sa femme et de sa fille. Une relation qui prend naissance alors que Maya est en couveuse. Lara lui parle mais surtout lui communique la musique pour qu’elle vive. Lara donne des cours de piano. C’est sa mère Sofiaqui le lui a enseigné. Pas en s’amusant mais avec exigence. Sofia, la grand-mère Russe, est une perfectionniste. Même si Lara est douée, elle n’est pas un prodige. Or, Maya en est une. Sous ses doigts, la musique nait et vit. Plus Maya grandit, s’épanouit et joue comme une virtuose et plus Lara sombre, s’enferme dans un autre monde. La fin est inattendue. Triste, belle etinversant les rôles. Tout au long du livre, la musique est présente. Douce ou vive mais toujours passionnelle comme la relation entre Maya et Lara.Une lecture magnifique qui m’a remplie d’émotions !
Lara, pianiste, met au monde sa fille Maya bien avant terme. L’enfant est une grande prématurée. Lara est présente chaque jour à ses côtés dans ce combat pour la vie. Lui parler mais surtoutlui raconter, lui transmettre et lui insuffler la musique. Robert son mari s’éclipse devant cette relation. Les années ont passé, Maya est un enfant gaie, pétillante, une libellule qui joue de toute son âme du piano. Elles habitent avec Sofia, la mère de Lara, pianiste d’origine Russe.Sur la quatrième de couverture, il est indiqué : « Un conte polyphonique poignant qui explore les frontières entre rêve et folie, amour et douleur, art et réalité » et je suis totalement d’accord. Ils sont plusieurs à prendre la parole bien sûr Lara et Sofia les deux femmes de la maison puis Maya. Mais aussi Robert, l’époux qui sent impuissant devant la relation fusionnelle de sa femme et de sa fille. Une relation qui prend naissance alors que Maya est en couveuse. Lara lui parle mais surtout lui communique la musique pour qu’elle vive. Lara donne des cours de piano. C’est sa mère Sofiaqui le lui a enseigné. Pas en s’amusant mais avec exigence. Sofia, la grand-mère Russe, est une perfectionniste. Même si Lara est douée, elle n’est pas un prodige. Or, Maya en est une. Sous ses doigts, la musique nait et vit. Plus Maya grandit, s’épanouit et joue comme une virtuose et plus Lara sombre, s’enferme dans un autre monde. La fin est inattendue. Triste, belle etinversant les rôles. Tout au long du livre, la musique est présente. Douce ou vive mais toujours passionnelle comme la relation entre Maya et Lara.Une lecture magnifique qui m’a remplie d’émotions !