Le jeu de l'ange [Poche]
Carlos Ruiz Zafón
Présentation de l'éditeur
Dans la turbulente Barcelone des années 1920, David, un jeune écrivain hanté par un amour impossible, reçoit l'offre inespérée d'un mystérieux éditeur : écrire un livre comme il n'en a jamais existé, " une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d'être tués ", en échange d'une fortune et, peut-être, de beaucoup plus. Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique de destruction se met en place autour de lui, menaçant les êtres qu'il aime le plus au monde. En monnayant son talent d'écrivain, David aurait-il vendu son âme au diable ?
Bibliographie de l'auteur
Écrivain catalan, scénariste, Carlos Ruiz Zafon est né en 1964. L'Ombre du vent, son précédent roman, a reçu le prix Planeta, celui du Meilleur livre étranger pour la catégorie Roman. a été sélectionné pour le Femina étranger, et s'est vendu à dix millions d'exemplaires dans le monde. Son dernier livre, Le jeu de l'ange, a paru aux éditions Robert Laffont en 2009. Carlos Ruiz Zafon vit aujourd'hui à Los Angeles.
source : http://www.amazon.fr
"l'espagnol Carlos Ruiz Zafón a plusieurs cordes à son arc et aime à les tendre toutes : roman policier, fantastique, sentimental, le jeu de l'ange est un mélange de genre parfaitement maîtrisé."
Marianne Bubertret - La Vie
Depuis fin octobre, je n'avais pas fait d'article relatif à mes lectures. Cela ne veut pas dire que je n'ai pas lu depuis 2 mois (au contraire, j'ai beaucoup lu).
J'ai terminé cette nuit le livre de cet auteur espagnol. Il m'arrive ces derniers temps de ne pas tenir le soir, m'endormir tôt, et puis je me réveille dans la nuit, impossible de trouver le sommeil, je passe le temps en lisant avant de pouvoir me rendormir.
J'avais commencé le livre dimanche dernier - soit lu en 6 jours les 667 pages!
Roman policier, fantastique, sentimental : 3 adjectifs pour caractériser le genre, son genre est propre. J'avais beaucoup aimé son premier roman L'ombre du vent. Des ficelles assez semblables, une histoire autour du livre, de la lecture, de la relation avec les livres, des longueurs (pensées philosophiques, théologiques) : mais qui ne m'ont pas rebuté pour terminer le roman, c'est vraiment prenant. L'auteur manie à la perfection l'humour, dans certaines situations,le suspense aussi pour tenir le lecteur en haleine, La ville est un personnage à elle seule, elle fait partie intégrante du roman. Attention, pour public averti (des descriptions ou scènes peuvent heurter certaines personnes). On ne compte pas les morts, ni les situations tragiques.
Si 667 pages ne vous rebutent pas, je vous conseille la lecture de ce roman, une fois que vous l'aurez commencé, vous n'aurez qu'une envie : poursuivre la lecture et le terminer!