Ses conclusions : la musique et la relaxation ont amené chez les patients une atténuation de 10 à 31 % de l'intensité de la douleur ressentie. Ses travaux ont ouvert la voie à des études similaires menées en Égypte, à Taiwan et aux États-Unis, selon la chercheuse de passage à l'Université de Montréal le 27 février dernier à l'occasion d'une journée d'étude sur la musique et la douleur organisée par le Laboratoire international de recherche sur le cerveau, la musique et le son (BRAMS ) .
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