Depuis 2005, Agoravox donne la parole à une population de « journalistes citoyens » qui rédigent des articles, les commentent et choisissent ceux qui feront la une du site. En face, les médias institués sont accusés de tous les maux : d'être à la botte des industriels et des politiques ; de montrer l'immontrable ; de dissimuler l'essentiel ; de bafouer la présomption d'innocence ; de victimiser tout le monde, jusqu'aux criminels ; de se régaler de faits-divers ; de croire aux sondages électoraux ; de ne pas vérifier l'information, voire de l'inventer de toutes pièces. Le journalisme citoyen est-il une réponse à ces travers ? Signe-t-il la fin des grands médias ?
L'article est de ma plume, paru dans le numéro précédent de la revue Interdépendances, et est consultable en ligne sur leur site.
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