Cassandra : poème La pièce [...]

Dans cette pièce noire et grisée, je te vois !

Je vois un rayon de lumière,comme un petit feu qui s'éteinds petit à petite...

Je ne respire pas de l'aire mais ta haine.

Je ne bouge pas, j'attends de pouvoir vivre ou mourir là, dehor, au nord où encore là bas dans l'espace.

Dans cette pièce, il n'y a ni nuit ni jour ni aurevoir ni bonjour, juste le silence qui règne sans cesser, sur tout ! L'amour ne peux pas exsister, le silence est là. La méchansté ne peux pas se magnifésté le silence est là. Un silence sans merci mais qui est mon seul ami.

Dans cette pièce, je ne meur pas, je souffre dans la pénombre de mon ombre, rouge, comme une grosse tache de sang qui ne s'éfface jamais, elle doit sûrement l'attendre aussi comme moi...Cette libértée insepéré...