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[Découverte] Yamato Nadeshiko

Par Jibouille

Kyohei, Yuki, Takenaga et Ranmaru sont les princes de leur lycée et vivent dans un manoir luxueux. Mais leur proprio, une très riche veuve, leur impose une épreuve. Ils pourront loger gratuitement pendant 3 ans dans le manoir, à condition qu’ils parviennent à faire de Sunako, la nièce de la proprio, une véritable lady. Le marché est trop beau et ils acceptent sans hésiter. Malheureusement pour eux, Sunako n’a rien d’une jeune fille « normale ».

[Découverte] Yamato Nadeshiko

Beaucoup connaissent l’anime mais peut-être un peu moins le manga. Alors, je vous le dis, si vous avez aimé l’anime, plongez dans le manga.

En effet, l’histoire change assez vite de l’anime ou en tout cas, on n’a jamais l’impression de déjà-vu. Il est vrai que ce n’est pas le genre de série dont le scénario se suit assidument car il s’agit plus de petites histoires indépendantes, même si on note quelques éléments récurrents (par exemple la relation entre Kyohei et Sunako, ou Tekenaga et Noi). Alors oui, c’est un shojo mais franchement, si tous les shojo étaient pareils, je pense que tout le monde s’y mettrait sans souci. Yamato Nadeshiko se distingue plus par son humour que par les sentiments mielleux qui peuvent caractériser les shojo. Ok, le dessin peut y faire penser mais ca ne gêne pas du tout la lecture. Je dirai même que ca ajoute un petit charme car l’univers est un véritable régal.

[Découverte] Yamato Nadeshiko

Sunako est souvent présenté comme ca ^^

Pour le moment, on ne se fait pas trop d’idée sur ce qui va se passer et parfois, on peut penser que la mangaka rallonge son manga avec des inutilités mais là encore, ce n’est pas bien grave puisque tout est bon et rien n’est à jeter. J’aimerai certes voir quelques points avancer mais je prends comme ca vient. Les éléments importants avancent de façon régulière, tous les 5-6 tomes, mais j’ai parfois l’impression que le tout fait marche arrière. Ce n’est pas vraiment une critique car je ris beaucoup et que chaque personnage apporte son lot de gags mais à ce rythme, ca peut durer longtemps. Non, ma critique concernerait plutôt le temps de parution qui tourne autour des six mois au bas mot. C’est un peu long mais tellement bon.

Fan de shojo ou non, Yamato Nadeshiko vous ravira surtout qu’il traite de sujets plus ou moins directement et qui font un peu réfléchir. Je suis fan, bien plus que l’anime. Entrez dans les ténèbres de Sunako ou préférez la lumière des 4 princes ^^ Vivement la suite (enfin, faut attendre un peu).


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