Un billet qui devrait donner raison à pas mal de blogueurs... malheureusement.
Nous sommes en Egypte où des élections législatives se sont déroulées il y a quelques jours. Au Caire, c'est pourri de journalistes. Bon, il y en a des sympas, hein ? Genre des potos américains avec qui j'ai grignoté un bout sur le pouce ce midi.
David, mon ex coloc qui bosse en freelance pour des revues était sur le pied de guerre, il est même parti dans le sud mais ça a été assez dur pour lui de rentrer dans ses (maigres) frais. Le trio de photographes pigistes du New York Times qui se voient obligés de jouer les rédacteurs occasionnels, a fait cjoux blanc.
Seul l'un d'entre eux a bossé lors d'un des deux tours des élections pour... aller photographier des touristes au Khran !
Parce que oui, le New York Times a juste récupéré des dépêches et photos d'agence...
Encore une fois, c'est Paul qui devait être en première ligne.