Dès les premières pages, j'ai eu l'impression que l'auteur allait exploiter tout ce que l'homme a de plus vil. On nous l'a faite cent fois cette année, entre "Ouragan", "Purge", "Mon enfant de Berlin" , un grand nombre d'écrivains et dramaturges ont utilisé la ficelle un peu usée qui consiste à exploiter la réalité historique et à en tirer toute sa perversité pour exciter notre petit cerveau de primate. Il reste que, si certains s'en sont bien sortis, comme Gaudé, ici je suis sceptique.