Va, va, vierge pour la deuxième fois est une œuvre dure qui garde sa puissance évocatrice et ce avec les années écoulées. Il y a un profond désespoir qui en émane ainsi qu’une rage singulière. L’économie de moyen dont fait preuve Koji Wakamatsu pour parler de ces « marginaux » ne l’empêche pas de mettre en scène cette œuvre avec force et conviction. Voilà de ces films qui vous fait la réputation d’un cinéaste et qui surtout dénote de son talent.
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