L'organisation de défense des droits humains y dénonce le caractère "grotesque et épouvantable de cette pratique", pour laquelle le code pénal "stipule même d'utiliser des pierres suffisamment grosses pour faire souffrir, mais pas grosses au point de tuer la victime immédiatement", et que les hommes doivent être ensevelis jusqu'à la taille et les femmes jusqu'àla poitrine.
Alors que, selon elle, neuf femmes et deux hommes sont en passe d'être lapidés en Iran, comme d'autres en 2006 et 2007, l'ONG a demandé à ce que les autorités iraniennes abrogent ou amendent le code pénal du pays et que, dans l'intervalle, elles s'assurent du respect du moratoire de 2002 interdisant la lapidation.