Lors de l'inauguration à Ashgabad le 15 octobre 2010 d'un hôtel de luxe construit par Bouygues. Crédits photo : Stringer / AFP
Le groupe Bouygues a un paradis : le Turkménistan. Dans cette dictature hermétique d’Asie centrale de type sultaniste, où le président Saparmourat Niazov avait développé un culte de la personnalité ahurissant, l’architecture grandiose est un outil de propagande. Après la mort de Niazov en 2006, l’arrivée au pouvoir de Gourbanguly Berdymoukhamedov n’a guère changé la donne.
À lire
- Turkménistan, de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (CNRS, 2009)
Voir aussi
- Libération – Bouygues et la dictature en béton