On commence le jeu avec une voiture plutôt bas de gamme, au milieu d’autres joueurs lâchés dans cette grande ville d’une île du Pacifique Nord (non, ce n’est pas l’atol de Pom Pom Gali). La conduite est très simple et ne nécessitera aucun temps d’adaptation : le contrôle se fait avec les seules flèches du clavier, les passages de vitesse sont automatiques. Une jauge de boost se remplit au fur et à mesure que l’on roule, permettant une fois pleine d’augmenter la vitesse de la voiture pendant une courte durée. Pour finir, maintenir le bouton shift permet de drifter de manière plutôt intuitive. Un gameplay très accessible et efficace, qui ne manquera pas de plaire à tous les fans d’Outrun.
Les premières missions qui s’offrent à vous sont relativement simples : aller récuperer des objets à l’autre bout de la ville, déposer des personnes à tel ou tel endroit, sans oublier les arrêts fréquents à la base pour améliorer votre voiture avec l’argent gagné, ou prendre connaissance de nouvelles missions. Par la suite, on pourra également défier les autres joueurs, de créer des teams et participer à différents types de course.
Soyons clairs, Drift City n’est pas là pour concurrencer Gran Turismo et consorts. Il s’inscrit dans la catégorie casual gaming : jeu informel, sans prise de tête, pour des parties relativement courtes. Malgré son installation fastidieuse et ses graphismes simplistes, Drift City reste un jeu distrayant, à pratiquer de préférence entre potes !C’est par ici que ça se passe… : Drift City
Cet article a été publié le Mardi, janvier 15th, 2008 à 12:09 sous Jeux Vidéo, Pilotes. Vous pouvez suivre les réponses à cet article via le flux RSS. Vous pouvez laisser un commentaire, ou un trackback depuis votre propre site.