Faëlle : poème

Jamais mes larmes n'ont coulé pour Toi
Le poignard était pointé sur mon coeur
Je lui ai dit d'attendre
J'avais besoin de comprendre
Et puis j'ai compris
Ce n'était pas moi
Et le poignard a disparu
Ne laissant aucune trace
De temps en temps
Je vois sa pointe
Mais je lui dis
Je n'ai pas besoin de lui
Jamais Tu ne me feras du mal
Je le sais
Comme ces certitudes qui font partie de moi
Jamais je ne verserais de larme par Ta faute
Mais des sourires naitront de mes lèvres
Et cette flamme, toujours présente en moi
Elle grandie quand Tu es là
Elle devient un brasier qui réchauffe mon coeur
Être heureuse
Tout simplement