La contribution de l'homme au phénomène des séismes à proprement parlé est quasiment nulle, à l'exception de quelques cas spécifiques de sismicité induite qui concernent généralement des événements de faible magnitude.
En revanche, l'homme contribue bien au risque sismique (combinaison de l'aléa et de la vulnérabilité des enjeux) en exposant des enjeux plus ou moins importants et vulnérables dans les zones sismiquement actives. Il y contribue également en ne respectant pas les réglementations associées mises en place, par exemple sur la construction parasismique.