Quand parlera t-on de la nécessité de la misère?

Bon, maintenant qu'on  a bien rigolé avec les gens qui s'indignent à propos de la misère, footeux ou non, va t-on enfin en parler vraiment? Qui osera expliquer la nécessité sociale de la misère?Comment elle nous est nécessaire? Qui passera de la révolte décorative à la profondeur, a la vraie révolte: celle qui, d'abord constate et connâit le réel. Celle qui, seule, peut agir! Seulement ça ne plairait pas! Car ça dévoilerait la complicité de chacun et le profit considérable que nous offre la misère... que serions-nous sans elle?comment vivrions-nous au quotidien? Bonnes questions! Mais il faudrait quelqu'un de vrai pour le dire à laTV. Et rappeler qu'on pourrait la vaincre, la misère. Mais ce serait trop dangereux et déstabilisant! Ca étoufferait la démocratie: elle n'est déjà plus fondée sur l'esclavage! Ce qui lui a ôté la dignité athénienne! Sa réalité de démocratie! Ce serait un coup fatal: il lui faut de la misère. Pas trop, mais raisonnablement.

PAtrick Declerck? On n'invite jamais les vraies personnes, celles qui parlent en ofrant et non pour s'autogratifier, les personnes entières et pas seulemetn l'étymologique masque!
Ca ferait trop de mal: continuons à profiter de la misère en protestatn contre elle: c'et une économie mentale, morale, affective équilibrée.Puisque ça marche, ne changeons rien.Combien de gens mourront dans  la rue cet hiver? Par chance, il n'en faut pas trop: les bénéfices de la misère pur chacun de nous ne sont pas strictement quantitatifs..
Patrick Declerck et à lire.Lui seul semble t-il parle bien de cette nécessité de la misère qui nourrit notre monde!

Honte à qui n'en n'est pas conscient!