Malika est une enfant précoce que l’on détecte surdouéeà 5 ans. Elle vit avec sa mère et son frère dans une cité de banlieue. En vingt-deux portraits qui vont des 5 ans aux 26 ans de Malika, on la suit dans sa vie et dans ses études jusqu’à ce qu'elle trouve sa voix professionnelle. En refermant ce livre, si un mot me vient à l’esprit, c’est humour et fraîcheur ! Je sais ça en fait deux… Pour avoir rencontré les auteurs, je savais que Mabrouck Rachedi ne manquait pas d’humour. Et là, avec sa sœur, ils viennent de me prouver qu’ils savent le manier à l’écrit. Raconté par Malika, ce qui aurait pu tomber dans un sérieux plombant ou se révéler une gentille fable ne l’est pas. « Avec une mère persuadée que « précoce » est synonyme de « grossesse précoce » et qui refuse que sa fille saute une classe. Trop mature pour ses copines, trop singulière pour les adultes, Malika cultive sa différence » : oui, et le tout est joliment bien raconté.Dans chacun des vingt-deux portraits, on retrouve ce qui caractérise la banlieue. Le langage, la mixité des cultures…mais sans oublier les aspects moins drôles. Loin d’être un essai sur les cités ou sur l’intégration, il s’agit de l’accomplissement d’une enfant devenue femme. La force de caractère de Malika, sa détermination l’amèneront à réaliser ses projets. Un livre qui mêle humour, réflexions et constatations. Et le tout est écrit dans un rythme sans temps mort !J’ai rigolé, j’ai souri et qu’est ce que ça fait du bien ! Un roman qui se lit tout seul et qui donne envie d'aller de l'avant ! Donc aucune raison de s’en priver…Les demandes de mariage ont afflué auprès de ma mère qui étudiait les dossiers avec autant de soin qu’un directeur d’école à la recherche d’un high potential. Dans le quartier, c’était coton. Quand elle recevait des amies flanquées de leur rejeton aux épaules basses et au regard fuyant, je savais que c’était un blind-date. Avec ce genre de jeu à la con, même une top model italienne classe pourrait se retrouver avec un nabot sans manières, alors pas question d’engager mon avenir dans ces mauvais remakes de Tournez manège.
Malika est une enfant précoce que l’on détecte surdouéeà 5 ans. Elle vit avec sa mère et son frère dans une cité de banlieue. En vingt-deux portraits qui vont des 5 ans aux 26 ans de Malika, on la suit dans sa vie et dans ses études jusqu’à ce qu'elle trouve sa voix professionnelle. En refermant ce livre, si un mot me vient à l’esprit, c’est humour et fraîcheur ! Je sais ça en fait deux… Pour avoir rencontré les auteurs, je savais que Mabrouck Rachedi ne manquait pas d’humour. Et là, avec sa sœur, ils viennent de me prouver qu’ils savent le manier à l’écrit. Raconté par Malika, ce qui aurait pu tomber dans un sérieux plombant ou se révéler une gentille fable ne l’est pas. « Avec une mère persuadée que « précoce » est synonyme de « grossesse précoce » et qui refuse que sa fille saute une classe. Trop mature pour ses copines, trop singulière pour les adultes, Malika cultive sa différence » : oui, et le tout est joliment bien raconté.Dans chacun des vingt-deux portraits, on retrouve ce qui caractérise la banlieue. Le langage, la mixité des cultures…mais sans oublier les aspects moins drôles. Loin d’être un essai sur les cités ou sur l’intégration, il s’agit de l’accomplissement d’une enfant devenue femme. La force de caractère de Malika, sa détermination l’amèneront à réaliser ses projets. Un livre qui mêle humour, réflexions et constatations. Et le tout est écrit dans un rythme sans temps mort !J’ai rigolé, j’ai souri et qu’est ce que ça fait du bien ! Un roman qui se lit tout seul et qui donne envie d'aller de l'avant ! Donc aucune raison de s’en priver…Les demandes de mariage ont afflué auprès de ma mère qui étudiait les dossiers avec autant de soin qu’un directeur d’école à la recherche d’un high potential. Dans le quartier, c’était coton. Quand elle recevait des amies flanquées de leur rejeton aux épaules basses et au regard fuyant, je savais que c’était un blind-date. Avec ce genre de jeu à la con, même une top model italienne classe pourrait se retrouver avec un nabot sans manières, alors pas question d’engager mon avenir dans ces mauvais remakes de Tournez manège.