La réduction de la biodiversité liée au réchauffement climatique et à la dégradation de l’environnement d’origine anthropocentrique a également des conséquences sur la santé humaine.
Cette réduction aurait pour conséquence l’augmentation des agents pathogènes. Selon une étude parue dans la célèbre revue scientifique « Nature », les espèces menacées en première ligne seraient précisément celles qui limitent la propagation de maladies infectieuses. Dans certains cas, à l’opposé, les espèces les plus « résilientes » sont celles qui . transmettent le plus les agents pathogènes.
En bout de chaîne, on peut donc s’attendre à une recrudescence des maladies humaines. Ca ressemble étrangement à… l’arroseur arrosé !
Source : notre-planete.info