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Ovales des grandes planètes, considérées comme des "taches"

Publié le 08 décembre 2010 par Feydharkonnen

Voici une bien curieuse théorie sur la raison de l'existence des ovales planétaires. Ces ovales sont bien cachés parmi les "taches" que l'on trouve sur les grandes planètes de notre système, appelées ici "planétoiles"...

   Mais lisons d'abord ce qui suit, tiré de ce site incroyablement audacieux: cliquez ici

La continuité électrique

   Pour la première fois, oreille humaine entend dire que les astres naissent petits, s’entourent d’un manteau et se développent, et aussi comment ils tournent sur eux-mêmes et autour de leur étoile avec des mouvements réguliers et ordonnés. Enrichis de cette connaissance, nous allons maintenant observer comment certains satellites deviennent semblables à Jupiter, puis à Saturne, puis à Uranus, puis à Neptune. On peut, là aussi, considérer ces quatre astres comme s’il s’agissait d’un seul que l’on observerait dans quatre époques différentes de sa croissance. Son évolution est consécutive à la fois à l’activité de sa propre famille et à l’activité de l’ensemble de la famille solaire. Effectivement, tout comme le Soleil, qui a un immense champ de lignes de force et un vaste plan d’anneaux sur lesquels les planètes évoluent, Jupiter et ses semblables ont chacune un champ de lignes de force et un plan d’anneaux sur lesquels évoluent leurs satellites nés de ces anneaux. Un satellite est ainsi relié à sa mère. Cette dernière est elle-même reliée au Soleil par l’intermédiaire d’un des anneaux de ce dernier sur lequel elle se trouve. Il y a par conséquent CONTINUITÉ ÉLECTRIQUE entre tous les astres d’une même famille. Ce qui ne permet à aucun d’évoluer séparément, d’ailleurs il ne le pourrait pas.

   Nous parlons donc d’un unique ensemble électromagnétique et d’une seule activité. En effet, les satellites sollicitent leur mère qui, à son tour, sollicite le Soleil avec les autres planètes. Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune se nourrissent des anneaux solaires, comme leurs satellites se nourrissent de leurs propres anneaux. Ce qui engendre une activité conséquente du Soleil, une activité en réponse aux sollicitations continuelles auxquelles il est soumis. C’est pourquoi j’ai dit plusieurs fois que ce sont les planètes qui font briller les étoiles. Nous allons donc développer le processus qui amène une planète à s’éclairer.

Chaleur et atmosphère des planétoiles

   En fonction de ce que l’on sait maintenant sur l’activité de l’aimant, on comprend que plus les planètes engendrent des satellites, plus elles s’activent pour les nourrir. Lorsqu’on parle de leur activité électromagnétique, on entend aussi leur échauffement. Or, puisque Jupiter (que nous gardons en exemple) est un astre fortement sollicité par ses satellites, il est forcément très chaud, surtout qu’il est situé sur un vaste anneau solaire qu’il n’a jamais quitté depuis sa naissance. Cet anneau solaire, d’un grand diamètre, entraîne Jupiter dans sa rotation. Mais cet astre, avec sa masse et celle de ces satellites, représente une grande inertie. Par conséquent, l’anneau solaire, qui tourne beaucoup plus vite autour du Soleil que ne le fait Jupiter, produit un grand échauffement sur cet astre, qui est une véritable résistance électrique sur cet anneau. Et cette chaleur croît par l’augmentation de sa propre activité assurément, mais aussi parce que l’activité du Soleil augmente proportionnellement à la croissance et à la multiplication des masses planétaires qui le sollicitent. Ce qui augmente d’autant la force de ses anneaux sur lesquels elles évoluent. La température qui règne sur ces planètes est donc continuellement en progression.

L’épaisseur du manteau d’un astre ne dépasse probablement jamais une trentaine de kilomètres. C’est pourquoi, je dis que Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter sont en train de changer leur manteau en gaz par l’énorme chaleur de leur noyau. Viendra un jour où il ne restera plus qu’une mer en fusion, qui sera directement en contact avec leur atmosphère. Et lorsqu’il en est ainsi sur une planète, celle-ci est sur le point de devenir une nova. Neptune, la plus âgée, est certainement la plus proche de ce moment, alors que Jupiter, la plus jeune, en est encore très éloignée...

    Ainsi, les gigantesques atmosphères des planétoiles sont dues à l’intense production de gaz qui crée un volcanisme effréné, mais aussi à l’eau qui leur est parvenue de l’ancienne atmosphère du Soleil. En effet, nous verrons que les gaz de l’atmosphère du Soleil explosèrent, et qu’une partie de cette atmosphère se déploya dans l’espace sous forme de couronne au sein de laquelle les astres évoluèrent tour à tour...

On comprend aisément que si la chaleur du noyau de ces astres ne se faisait directement sentir dans l’épaisseur de l’atmosphère, les gaz qui la constituent se liquéfieraient forcément et tomberaient sur le sol où ils formeraient un océan de glace. On est alors obligé d’en conclure que Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune ne peuvent plus avoir un manteau semblable à celui de la Terre qui isole le noyau de l’atmosphère. Non, l’aspect de ces énormes masses d’air indique formellement qu’une forte chaleur règne en elles, et qui ne pourrait être avec un épais manteau isolant. Par conséquent, puisque l’atmosphère de ces astres est formée d’aussi abondants nuages, alors qu’il fait très froid dans leurs parages, c’est que l’immense chaleur du noyau se fait sentir très haut. C’est pourquoi, l’existence de leur atmosphère tout en nuages et dans un tel gigantisme révèle une énorme et permanente chaleur interne, provenant de l’effet de résistance électrique de l’astre. Cela est incontestable et certain ; car, si tel n’était pas le cas, ces nuages deviendraient pluies, puis glace sur le sol de l’astre. Un enfant peut le concevoir.

La tache ovale de Jupiter

   Depuis la Terre, nous pouvons observer l’atmosphère géante des planétoiles et plus particulièrement celle de Jupiter au bord de laquelle nous discernons une tache permanente, rouge et ovale. Ces atmosphères sont toutes constituées de bandes claires et sombres que l’on distingue sur leur disque. Pour comprendre pourquoi il en est ainsi, sachons d’abord que, dans sa rotation, l’astre entraîne son immense magnétosphère qui, de la sorte, est plus ou moins vrillée. Ainsi, un corps venant du ciel ne peut tomber d’une façon absolument verticale. Pareillement, les électrons de l’anneau solaire sur lequel Jupiter évolue arrivent de l’extérieur sur cet astre, en voyant leur trajectoire plus ou moins vrillée par la magnétosphère. Cela étant, l’anneau solaire qui s’engouffre dans l’atmosphère se déforme et ne constitue plus un cercle parfait à l’approche de l’astre. Il convient de le remarquer, pour pouvoir comprendre le positionnement de la tache rouge sur le disque de Jupiter ; car il est évident que cette tache est faite par l’anneau plat du Soleil qui s’ovalise progressivement jusqu’au contact du noyau rond.

   Ci dessous sont représentés le noyau et l’immense atmosphère de Jupiter, ainsi que l’anneau solaire qui arrive au contact du noyau et en repart plus ou moins déformé. Désormais, nous savons que Jupiter est une sphère aimantée sur laquelle les électrons de l’anneau solaire sont obligés de passer, et que ce flot d’électrons peut souffler les gaz à son passage, comme nous l’avons vu avec l’exemple de la chandelle. On en conclut alors que cet anneau, plat et large dans le lointain, se densifie et s’ovalise forcément à l’approche de la sphère métallique, et crée de la sorte une turbulence de forme ovale dans l’atmosphère, depuis le bord de celle-ci.

Passage de l'anneau solaire sur Jupiter

Passage de l’anneau solaire sur Jupiter


   Par sa grande largeur, cette fameuse tache ovale montre nettement la taille du noyau métallique de Jupiter. Et on la voit rouge parce que, formée par l’anneau qui s’engouffre dans l’atmosphère, elle ne peut réfléchir la lumière solaire de la même façon que ne le fait le reste de l’atmosphère composé d’une couche de cristaux de glace en haute altitude. Elle nous apparaît donc rouge pour cette raison. Et elle ne se déplace nullement sur le disque de Jupiter comme l’affirment ceux qui la surveillent attentivement. Non, elle reste au même endroit par rapport à l’anneau solaire qui la forme. Si on l’observe sur le disque dans des positions différentes chaque année, comme si elle faisait le tour de l’astre dans un sens et dans l’autre, c’est que l’angle d’observation depuis la Terre a changé. Jupiter met en effet plus de onze de nos années pour accomplir une révolution entière, en étant fortement incliné sur son axe par rapport au plan des anneaux du Soleil. Aussi, tous les ans, on aperçoit cette tache positionnée différemment sur son disque, par changement d’angle d’observation. Elle ne fait donc pas le tour de l’astre, même si elle en donne l’apparence.

   Comme l’anneau solaire tourne forcément plus vite autour du Soleil que ne le fait Jupiter, ce dernier fait résistance et s’échauffe fortement. Or, comme sur toute résistance, il y a forcément une entrée et une sortie du courant formé par les électrons. Il y a donc une différence certaine selon que l’on regarde le côté où l’anneau pénètre dans l’atmosphère ou le côté où il en sort. Du côté où il en sort, les électrons sont arrachés à la sphère, tandis que du côté où il entre, les électrons descendent sur la sphère en se concentrant. Cela signifie que la section de l’anneau ne peut pas être identique de part et d’autre au contact de l’astre, et qu’il ne peut exister une tache semblable des deux côtés.

   Produite par l’anneau solaire, cette forme ovale révèle à l’évidence que le diamètre du noyau de Jupiter est de peu supérieur à celui de la Terre qui entrerait tout juste dans la grande largeur de cette forme. Il en est forcément de même pour les noyaux de Saturne, d’Uranus et de Neptune qui, étant plus âgés, ne sont que légèrement plus gros que celui de Jupiter. Cela nous donne aussi une vision plus exacte de la taille du noyau solaire, et par là même de toutes les étoiles ; car tous les astres sont issus de l’unique phénomène électromagnétique. Les astres ne peuvent alors pas avoir les énormes différences de taille que les savants vous faisaient croire dans les ténèbres de ce monde.

La tache rouge de Jupiter

 La tache rouge de Jupiter


  Voici, telle qu’on l’observe, l’image extérieure de Jupiter. Cette image montre l’anneau sur la tranche, déjà ovalisé depuis assez loin ; d’où son épaisseur sur la figure. Il apparaît alors que l’anneau du Soleil est comme un pieu immuable dans l’atmosphère de Jupiter, et que cela ne peut qu’engendrer un retard des gaz qui s’y heurtent dans leur rotation. Puisque, comme toutes les planétoiles, Jupiter tourne rapidement sur son axe en entraînant sa masse atmosphérique dans sa rotation, on assiste forcément au brassage de cette atmosphère à partir de ce pieu immuable sur lequel les gaz et les cristaux de haute altitude se heurtent. Son atmosphère est donc obligée de se centrifuger, et de former ainsi les bandes claires et sombres que l’on observe. La centrifugation est la séparation des constituants d’un mélange par la force centrifuge. Ces bandes en sont la conséquence, car elles résultent de la séparation des gaz liquéfiés sous forme de brouillard ou de cristaux en haute altitude, et auxquels gaz se mélangent les fumées et les poussières provenant de l’intense volcanisme qui règne sur cet astre.

   Formée de l’extérieur par l’anneau solaire, la tache rouge de Jupiter n’est donc pas d’origine interne ; et elle ne pouvait nullement être saisie à partir des observations que l’on faisait d’elle depuis la Terre. Mais puisque les planètes qui se préparent à devenir étoiles suivent le même processus électromagnétique, on en déduit que la fameuse tache ovale doit exister pareillement sur Saturne, Uranus et Neptune. Toutefois, comme sur ces planétoiles tout est plus avancé que sur Jupiter, cette tache est peut-être moins visible et différente d’aspect, d’autant que les anneaux du Soleil sur lesquels elles règnent sont différents, eux aussi, en étant plus vastes et plus éloignés. Mais c’est le phénomène qui importe et non son aspect. Il est obligé cependant que ces planètes se ressemblent et que leur atmosphère de grande épaisseur soit brassée par les anneaux solaires sur lesquels elles évoluent.

   En raison de toutes ces évidences, il vous apparaît que je n’arrange pas les faits pour qu’il en soit ainsi, mais que ce sont eux qui s’unissent pour qu’il n’en soit pas autrement. L’expérience de l’électricité soufflant les gaz de la chandelle le démontre amplement, car il est évident que l’anneau solaire peut aisément créer une turbulence dans l’atmosphère. C’est pourquoi, à elle seule, la tache ovale est le témoignage formel que Jupiter est une sphère métallique légèrement plus grande que la Terre, ainsi qu’une résistance électrique et non une boule de gaz ! Soyez donc fort attentifs aux explications de Jupiter ; car, avec ses satellites, son atmosphère et sa tache rouge, cet astre est en lui la preuve irréfutable que l’électromagnétisme universel est bien tel qu’il est enseigné par le Fils de l’homme.

Fin de citation du site: le livredevie.com


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