Entre Ophélie et Noé (20 ans) j'ai torturé pris soin épisodiquement d'une tripotée de chatons et deux canetons.
Les chatons, je les retrouvais tous les ans lors de vacances dans ma famille italienne.
Parce que je ne comprenais pas la langue parlée par les membres de ma famille (de l'italien), je passais mes journées à améliorer l'ordinaire des chatons.
Je n'en ai pas vu les séquelles, chaque année il y en avait de nouveaux.
Les canetons, eux aussi italiens, sont encore l'un des plus gentils cadeaux que l'on m'ait fait.
Imitation of life :
Mon grand-oncle préféré, Guiseppe, les a ramenés subrepticement du stand à canetons du marché aux animaux d'Oleggio - best shopping ever - où je m'était attardée un peu plus tôt.
Papa n'a pas bronché, ils ont franchi la frontière cachés sous le siège auto.
Et j'ai passé le reste des vacances à leur donner des bains dans une bassine d'eau bleue.
(C'est ça qu'ils aiment, non ? Une meilleure idée d'activité pour des canetons ? Alors)
Comment ont-il fini ?
Là n'est pas la question.