Nos sympathiques Penguins ouvrent le bal. Comme à l’accoutumé on commence par une intro en totale instru’. Puis, on rentre dans le vif du sujet : Wild Cat, Slow Motion, Love Your Mum, Taste It… les cinq membres du combo sont à fond, mené par un Alexandre très dansant. Le seul point noir de la soirée : un public un peu mou, qui accompagnera toutefois les What About Penguins à la toute fin du set. La reprise de Sex Bomb les réveille un peu, et il est cependant conquis avec It’s Alright qui vient conclure le set. Nous, on reste évidemment sous le charme de ce groupe, qui malgré les petits problèmes techniques, assure comme toujours. Ils seront en concert le 22 janvier à la Loge : soyez rapide pour les résa ! Il n’y a que 80 places.
Place à nos June Hill. Mine de rien c’est la première fois que je les voyais en live dans une salle de concert. Oui parce que j’avais craqué pour leur musique via leur myspace et les quelques vidéos vu sur le net. J’avais aidé à l’organisation de cette fameuse session acoustique totalement sauvage, mais en vrai, en branchés c’était ma première fois. Et forcément j’ai aimé. L’influence Nirvana se fait ressentir, et on ne résiste pas aux voix parfaites, aux harmonies dantesques, c’est rock à souhait, c’est June Hill, et c’est également la nouvelle signature de Believe Digital (le même label que Charles Pasi, Cours Lapin et…James Vincent Mcmorrow) ! On ira même à dire qu’on a adoré le look all-black + chapeau noir de Jérôme. Malheureusement, on n’a dû quitter le set avant sa fin…Ben oui « du fait des intempéries, la circulation est pertubée sur les lignes 5,6,8, et 13 du métro »… On nous l’a répété assez souvent cette journée pour s’en rappeler.
LES WHAT ABOUT PENGUINS A L’ÉTAGE
Je dois m’excuser très très bas : je suis un peu une bouse ces derniers temps…enfin mon appareil photo est une bouse. Pourquoi : à la moitié du set des WAP celui-ci décide de me lâcher, le fourbe. Du coup je n’ai pas de photos de June Hill. Qu’à cela ne tienne, Stéphanie y était également. Vous pourrez retrouver très vite ses clichés sur son excellent blog.
Sabine Swann Bouchoul
Merci à Karl B (tu as le droit de dire que je crains grave!)