Bizarre, ce gars qui descend en flammes HEC. IEP, Polytechnique, HEC, c'est l'archétype du gars brillant (au moins scolairement, en tout cas).
Je ne veux pas être méchant, mais l'article est foncièrement bidon : mis à part expliquer que les étudiants d'HEC deviennent des bons à rien, qu'ils passent leur temps en distraction, et qu'à HEC, on véhicule le très méchant libéralisme dans sa forme la plus démoniaque, c'est à dire orthodoxe, il n'y a pas le plus petit début d'un élément concret pour accréditer les affirmations de l'individu.
Mon Dieu Mon Dieu : il y a des réseaux à HEC. Ah, quelle découverte. Y'en a partout, mon pauvre gars, des réseaux, c'est même une marque de fabrique française. Pas une spécificité d'HEC, ça.
Quant à critiquer le mérite calculé sur le montant du salaire, eh bien HEC, me semble-t-il, a tout de même pour vocation de procurer un bon job, on ne va pas s'en plaindre, non ? Bref, c'est bien HEC. Bonne école, et qui a bonne presse à l'étranger en plus.
Ok, il y est passé, le gars, mais encore ? Adore ce que tu as brûlé, et brûle ce que tu as adoré, disait le père Rémi au Tom à Clovis se convertissant au marxisme au christianisme...