C'est pas ce que j'ai (ces deux bêtes) mais voilà comment ça a commencé :
Non.
Comme tout, cela a commencé à ma naissance.
Une de mes première interventions dans le monde a consisté à tuer un chien.
Il m'a mordu, mon grand-père l'a abattu.
Le concept d'euthanasie lui était étranger, fusil.
Mes rapports avec la gente animale ne partaient pas sur de bonnes bases.
Enfin, une preuve d'amour de mon grand-père (on me l'a vendu ainsi).
Vers 5 ans, j'ai eu un cocker.
Imitation of life :
Ophélie.
Persiste pour moi une difficulté à prendre au sérieux la bonne amie d'Hamlet.
J'ai les photos pour le prouver mais n'ai aucun souvenir qu'elle ait été ma chienne.
Car... elle a vite rejoint la verte vallée de mes grand-parents.
Ca fait sens, que je remplace le chien mort par ma faute par mon propre chien.
Mes parents étaient cohérents.
Ophélie est devenue une très bonne chienne qui faisait des tours à la fin du repas en attrapant les sucres posés sur sa truffe, un petit spectacle dont je ne me rappelle pas exactement les différents actes mais qui allait crescendo.
Je n'ai plus rien eu jusqu'à Noé, mon chat, alors que j'approchais la trentaine.