J'étais extatique lorsque j'ai écrit mon premier billet sur Ruset. Je crois qu'il est temps d'en remettre une couche, puisqu'il vient de pondre un nouveau titre.
Bien-sûr, deux mois seulement après mon billet précédent, je n'ai guère de chose à rajouter sur sa musique : je considère toujours que ce mec joue une musique unique. Difficilement comparable. Avec une mélancolie très suédoise et des paroles dans la langue d'ABBA. Assurément l'une de mes plus belles trouvailles de l'année.