Un zeste de parfum et je vais me coucher,
Dans les draps de ce lit qui n'a pas été fait...
La douceur de la couette ne me réchauffe pas,
Je ne veux pas non plus, me blottir dans ses bras...
Doucement respirer, juste faire semblant,
Que les bras de Morphée m'ont prise en un instant...
Mon coeur bat bien trop vite, va-t-il donc me lâcher...?
Ce menteur, ce coupable, qui m'a tant fait pleurer...
Je régule mon souffle, il me pense endormie,
Pourtant je vais compter chaque heure de la nuit...