"Y a-t-il un seul spéculateur - un seul - qui ait exprimé un semblant d’excuse ou de repentir pour les souffrances sociales qu’il a causées, pour le chômage qu’il a provoqué, pour les dépenses qu’il a fallu consentir pour sauver le système ?"
Lire ici l'édito de Laurent Joffrin
Lisbonne, mai 2007, coup d’oeil François Weil, photo Marie Genty