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La métaphore sera triviale mais on est né près de Marseille ou on ne l'est pas ! Il est bien rare que l'on vénère le libéro à la fin d'un match de football. Seul l'attaquant, et si possible l'avant-centre a droit aux lauriers pour un seul but marqué, alors que le libéro précédemment cité en a peut-être empêchés 5. En BD c'est un peu pareil : on encense le dessinateur, estime le scénariste et ignore le coloriste. Etrange pour un artisan de l'ombre qui met des couleurs partout ! Ypyb, je connais ton syndrome Caliméro mais tu sais tout le bien que, Sti et moi (au moins) pensons de ton travail. Et hop, c'est dit !