La flambée des prix du pétrole, qui entraîne celui du gaz et les engagements de lutter contre le réchauffement climatique incitent à limiter l’utilisation du charbon pour produire de l’électricité, conduit tout naturellement à se tourner vers le nucléaire, alors que 442 réacteurs fonctionnent actuellement dans 31 pays.
La France est particulièrement bien placée dans ce domaine et pourra largement participer au programme prévisible de construction de 100 à 300 nouveaux réacteurs à construire dans le monde, en particulier en Chine et compte en construire un tiers.
Pendant ce temps, on ignore la position des pays hostiles par principe, au nucléaire comme l’Italie qui l’a abandonné en 1987, l’Allemagne qui prévoit toujours d’en sortir d’ici 2020, suivie par la Suède et la Belgique, pays qui devront importer de l’électricité d’origine nucléaire produit ailleurs.