Rester en vie !
En santé comme en d'autres domaines:
Nos représentants élus DEVRAIENT NOUS PROTÉGER contre l'appétit des industriels... mais ils préfèrent se remplir les poches !
déc
3
2010
Par suzanne
Canada
La majorité des citoyens canadiens ne comprend pas bien le problème du mercure. Peu ou pas de mouvement de masse pour exiger des contrôles et des mesures concrètes pour régler le problème de ce métal lourd dans l’environnement. C’est un poison, ni plus, ni moins. Toutefois, certaines industries en ont cruellement besoin, un rapport de force s’établit entre les divers intéressés.
Allons d’abord faire un tour sur le «très crédible» site web de Santé-Canada. Cherchons à connaître les effets du mercure sur l’être humain.
Effets du mercure sur l’être humain
Le mercure inorganique peut provoquer de l’insuffisance rénale et des lésions gastro-intestinales. Les sels de mercure sont irritants et peuvent provoquer des cloques et des ulcères sur les lèvres et la langue. Les éruptions cutanées, la transpiration excessive, l’irritabilité, la fibrillation musculaire, la faiblesse et l’hypertension artérielle sont autant de symptômes de l’exposition à des niveaux élevés de composés inorganiques du mercure.
L’absorption du méthylmercure se fait d’abord par le tube digestif pour ensuite se répandre dans le reste du corps. L’élément toxique pénètre facilement dans le cerveau, où il peut demeurer pendant une longue période. Chez la femme enceinte, il peut traverser le placenta et s’accumuler dans le cerveau et les tissus du foetus. L’enfant peut également être contaminé au méthylmercure par ingestion de lait maternel.
Le système nerveux en développement d’un enfant est particulièrement sensible au méthylmercure. Les effets varient selon le niveau d’exposition; ils peuvent se manifester par une baisse du QI, des retards moteurs et verbaux, un manque de coordination, des problèmes de cécité ou encore des crises d’épilepsie. Chez les adultes, les effets d’une exposition importante se remarquent par des changements de personnalité, des tremblements, des troubles visuels, des problèmes de surdité, la perte de coordination musculaire et de sensation, des troubles de la mémoire, des déficiences intellectuelles et même le décès.
Et c’est seulement quand on l’ingère… imaginez quand on vous l’injecte dans la chair !
Toujours sur le site de Santé-Canada, on retrouve un volumineux dossier, une FAQ, on apprend à reconnaître les sources de contamination, comment nettoyer un petit dégât (thermomètre brisé).. et encore… si vous comprenez comment on s’y prend, vous me le direz… quand à moi… j’y arrive pas. Je colle la question et la réponse no. 25:
Q25. Comment dois-je nettoyer un déversement de mercure à la maison (p. ex., un thermomètre au mercure brisé)?
Si le mercure est brûlé, chauffé ou renversé, il faut suivre une procédure de nettoyage car il est possible qu’un gaz toxique ait été émis. La vapeur de mercure est incolore et inodore et il faut un équipement spécial pour déterminer la concentration de mercure dans la maison. Un professionnel peut déterminer les aires de la maison touchées en mesurant le niveau des vapeurs de mercure à l’aide de dispositifs conçus à cet effet et en analysant l’utilisation du mercure dans la maison.
La quantité de mercure présente dans les produits ménagers n’entraîne habituellement aucun problème de santé grave et peut être facilement nettoyée sans l’aide d’un professionnel qualifié. Toutefois, même les petits dégâts sont dangereux et doivent être nettoyés de manière appropriée. De plus, il faut les signaler aux autorités locales responsables de la salubrité environnementale. Selon l’ampleur du déversement, l’embauche d’un entrepreneur peut s’avérer utile afin de mesurer les concentrations de mercure dans l’air et pour procéder à un nettoyage professionnel. On peut également se procurer de petites trousses de nettoyage de déversements accidentels de mercure. Il ne faut jamais nettoyer un déversement de mercure à l’aide d’un aspirateur. Cette pratique risque d’accroître la vaporisation du mercure.
Voici quelques conseils pratiques :
- Ne jamais mettre au lavage des vêtements contaminés;
- Ne jamais nettoyer un déversement accidentel à l’aide d’un aspirateur;
- Ne pas utiliser de brosse ni de balai;
- Ne pas déverser de mercure dans le drain d’évacuation;
- Ne pas jeter le mercure ou les articles contaminés avec les ordures ménagères.
Comment dois-je nettoyer un déversement de mercure à la maison (p. ex., un thermomètre au mercure brisé)? (question 25)
Avez-vous compris comment nettoyer le mercure d’un thermomètre brisé ? moi pas. Et je me sens flouée, ignorante.
Que ressentez-vous ? Moi j’ai comme le goût d’une réflexion plus poussée… il me vient un questionnement… des doutes. Je viens de comprendre que les conséquences d’une surexposition au mercure sont désastreuses, je viens de comprendre qu’il est quasiment impossible de se débarrasser de ce poison… et surtout, je crains que le rapport de force entre l’industrie et nous, soit perdu d’avance… à moins d’une prise de conscience aigüe.
«Ni vu, ni connu» pensent les intéressés.
Puisqu’il n’est pas question de bannir le mercure de l’industrie, on établit des normes.
Mais encore ? faudra-t-il contrôler sur le territoire ? les cours d’eau, les citoyens… ?
“Bof… si on n’a pas le choix.”
Mais encore ? en cas de résultats désastreux, que ferons-nous ?
“Quelle question ! on balayera sous le tapis. Ni vu, ni connu !”
«Pour faire le tour de la question, rien n’égale les bons vieux médias nationaux» se disent certains. Ça adonne bien… J’ai trouvé un dossier dans les archives de Radio-Canada, dont je colle un extrait ci-dessous.
Sur le site du diffuseur ou trouve aussi divers clips, documents audio… allez-y voir, juste pour mettre à jour votre mémoire et pourquoi pas, d’éventuels préjugés envers les blogs citoyens… qui, paraîtrait… «ne diffusent que des mensonges et de la propagande». Jugez par vous-même des faits et des inquiétudes normales qu’ils suscitent.
Période : 1969 – 2002
Mercure : des eaux empoisonnées
Le mercure est un métal liquide que l’on retrouve dans la nature. Utilisé depuis des siècles par l’homme, il représente un danger lorsqu’on en absorbe. Dans les années 1960, des études permettent de déceler un taux de mercure trop élevé dans les étendues d’eau canadiennes, et plus particulièrement en Ontario et au Québec. Il faut attendre le milieu des années 1970 pour que l’empoisonnement au mercure sème une réelle inquiétude, particulièrement auprès des populations autochtones.
Des industries polluantes
Date de diffusion : 30 juin 1970
Comme de nombreuses entreprises, Domtar utilise du mercure dans son processus de fabrication. Au cours du XXe siècle, l’industrie des pâtes et papiers se sert du mercure comme fongicide principal. Les déchets sont ensuite rejetés dans les cours d’eau et à leur tour contaminent la faune aquatique, qui se retrouve éventuellement dans les assiettes de l’être humain. Dans le cas de la Domtar de Lebel-sur-Quévillon, les déchets toxiques trouvent leur chemin jusqu’aux eaux de la Baie-James, comme l’explique le journaliste Jean Pagé à Simon Durivage.
Les papetières ne sont pas les seules industries à utiliser le mercure dans leurs processus de travail. Dans les années 1970, on trouvait 3000 usages au mercure. Dès le XIXe siècle, les pharmaceutiques s’en servent pour certains diurétiques (pour soigner, notamment, la syphilis) et antiseptiques (dans le mercurochrome, par exemple).
Toujours au XIXe siècle, les chapeliers se servent d’une solution de nitrate de mercure pour mouler les chapeaux de feutre.C’est le même Jean Pagé, du quotidien Montréal-Matin, qui dévoile au grand public les résultats alarmants d’études du gouvernement fédéral sur les dangers du mercure en 1976. C’est en questionnant des biologistes que le journaliste, aujourd’hui chroniqueur chasse et pêche pour le Réseau des sports, découvre que le gouvernement a commandé en 1969 une étude sur la teneur en mercure de 600 poissons de sept espèces différentes et que, sept ans plus tard, il garde toujours les résultats secrets.
« Ça été le plus gros article de ma carrière. J’avais accusé le gouvernement de laisser la population se faire empoisonner », confie-t-il au site des Archives de Radio-Canada une trentaine d’années plus tard.
Archives de Radio-Canada – Dossier Mercure – des eaux empoisonnées.
Si vous avez jeté un oeil sur l’extrait précédent, (et si vous suivez les infos télévisées depuis un an) vous savez maintenant qu’il n’y a pas de paranoïa dans le fait de douter de nos représentants élus et de leurs petits copains, et c’est pas d’hier que ça dure. Ils ont caché, ils cachent, ils cacheront… conjuguons ce verbe à tous les temps… pour nous déprogrammer de leur bullshit.
Et on nous demande de nous méfier d’Internet… Plusieurs médecins sont de la partie. Ma chirurgienne m’a interdit d’aller m’informer sur Internet avant la mammectomie. J’avais des petits dépliants, c’était assez selon elle. Je crois qu’eux aussi ont peur du méchant loup… les plus endoctrinés en tout cas.
Bienheureux les creux, le royaume des cieux est à eux !
La vérité, toute la vérité, on ne la trouve pas dans le bureau du docteur, ni chez le député, on la trouve ailleurs… comme dans les X-Files. J’vous jure que j’trouve pas ça drôle pantoute. Citer une série de science-fiction. Et c’est dans ce monde qui dépasse la fiction que nous vivons tous. J’y ai suffisamment cru pour me reproduire, deux fois. Est-ce que mes petits-enfants vaccinés au mercure (thimérosal) souffriront d’une méchante pathologie ?
Certains sourient encore ? vous me prenez pour une timbrée ? Vous n’écoutez pas les nouvelles ? vous ignorez les enveloppes brunes ? les blanches ? vous ne savez pas reconnaître le déguisement de l’escroc ? Cravate, toge, sarreau, soutane… name it !
USA
Envers et contre tous, il reste encore des personnes honnêtes qui font tout en leur pouvoir pour informer les populations du danger que représentent les vaccins qui contiennent du thimérosal (du mercure).
Dans les vidéos que je vous propose, vous verrez défiler des spécialistes, des responsables de santé publique, et le dernier mais non le moindre, le sénateur Robert F. Kennedy Jr.
Dans une vidéo sur le site de NaturalNews, nous apprenons que des études très inquiétantes ont été et demeurent cachées (encore!). Pendant ce temps, les profits des labos explosent, tandis que les enfants eux… (ces 2 vidéos sont en anglais)
De nombreux autres articles et documents circulent sur Internet… le grand méchant loup. À vous de décider si vous détenez bien toute l’information pour porter un jugement et pour faire les choix qui s’imposent.
Liste de vidéos intéressants, en français:
- Silence on vaccine (partie 1)
- Silence on vaccine (partie 2)
- Silence on vaccine (partie 3)
- Silence on vaccine (partie 4)
- Silence on vaccine (partie 5)
- Preuve vaccin = poison déguisé
- Le mercure des vaccins – Faculté de médecine – Université de Calgary – en anglais sous-titré en français
- Sylvie Simon – Scandales et vaccination
Google est votre ami.
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- Santé-Canada – Le mercure et la santé humaine
http://www.hc-sc.gc.ca/hl-vs/iyh-vsv/environ/merc-fra.php#ef - Comment dois-je nettoyer un déversement de mercure à la maison (p. ex., un thermomètre au mercure brisé)?
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/contaminants/mercur/q18-q27-fra.php#q-25 - DOSSIER MERCURE - archives de Radio-Canada
http://archives.radio-canada.ca/dossier.asp?IDDossier=1156 - The Dangers of Vaccines - Part 1
http://naturalnews.tv/v.asp?v=C22E5F4C1A799033F1922A045EAEFB06 - The Dangers of Vaccines - Part 2
http://naturalnews.tv/v.asp?v=98F8F0C9BF29F27A49A379C4298780D3 - Silence on vaccine (partie 1)
http://www.youtube.com/watch?v=cGCHgkAz2eg - Silence on vaccine (partie 2)
http://www.youtube.com/watch?v=bqZc2q-2KyQ - Silence on vaccine (partie 3)
http://www.youtube.com/watch?v=Zzf9oK_DAk0 - Silence on vaccine (partie 4)
http://www.youtube.com/watch?v=YbXlkXjQGlY - Silence on vaccine (partie 5)
http://www.youtube.com/watch?v=e1Tfi8DEUEk - Preuve vaccin = poison déguisé
http://www.youtube.com/watch?v=YlqPCiuTa1A - LE MERCURE DES VACCINS
http://www.youtube.com/watch?v=cQUsnUGeXnw - Sylvie Simon – Scandales et vaccination
http://www.youtube.com/watch?v=MlWpEb2TkMY - Recherche Google: mercure + dangers
http://www.google.ca/search?q=mercure+dangers