Magazine Environnement
Roa, artiste graffiteur met la faune sauvage à l'honneur dans la ville. Ses créations fantasmagoriques en noir et blanc ornent les façades d'immeubles abandonnés, les murs, les ponts mais aussi tous les lieux en adéquation avec son message. Des animaux sortis de nul part qui semblent comme égarés dans un espace devenu hostile de part l'omniprésence de l'Homme et de sa boulimie de modernité. D'abord réservé à sa ville d'origine, Ghent, son street art part maintenant à l'assaut des capitales Européennes. Avec toujours la même interrogation : Quelle place laissons nous à la faune sauvage dans notre jungle urbaine ?