2 séries seront ici évoquées, pour des raisons semblables. La première remonte à l'époque ou la Sériephilie a dû naître pour beaucoup, avec X-Files, créant un véritable engouement pour les séries. On se mettait alors à l'époque à guetter du coin de l'oeil les productions S-F et Fantastique, à nouveau à la mode grâce à la série sus-mentionnée.
Et donc parmi les nouvelles séries annoncées, il y en a une qui promettait d'être bien barrée :
Buffy contre les Vampires. Rien que le titre, LOL. Et le concept : une lycéenne part la nuit venue à la chasse aux vampires, ça promet. Et depuis... Une superbe série sur la vie, la mort, l'adolescence, les rapports délicats entre ados et adultes, l'amour comme bonheur mais aussi comme souffrance, une héroïne superbe et courageuse, pour qui la vie était un combat, entourée d'un cast excellent, de l'humanité partout, de l'auto-dérision, du rire, des larmes, des drames...
Buffy. Série unique en son genre.
Plus tard, autre nouvelle série, autre héroïne. Introduite avec une perruque rouge, cette fois. Créée par celui qui lança
Felicity, série sur les déboires adolescents et les histoires d'amour d'étudiants. Ca promet. D'ailleurs, la série semble partie sur la même voie, avec des romances et triangles amoureux pointant le bout de leur nez. Est-ce que l'on va donc nous proposer une
Felicity 2.0 ? Il semblerait bien. Seulement, l'étudiante en question s'appelle
Sydney Bristow, et est espionne. Comme
James Bond. Au service secret non pas de sa majesté mais du SD-6, division secrète de la CIA. Enfin c'est ce qu'elle croit, le SD-6 est une des 6 organisation secrète de l'Alliance (équivalent pour la série du S.PE.C.T.R.E.), et choisit lorsque son fiancé est assassiné par son patron, de devenir agent double pour la CIA. Comme son père, agent double au service et du SD-6, et de la CIA. Rien que le résumé du concept de la série à ses débuts donne le vertige, et est une promesse de scène haletantes et palpitantes comme à la bonne vieille époque de la mythique série
Mission : Impossible, dont elle s'inspire aussi vraisemblablement. (et donc, pour ceux qui se poseraient la question, je parlais ici d'
ALIAS, bien évidemment... )