Le jeudi 19 octobre 1933, Céline va assister boulevard Arago à l’exécution publique de Roger Ducreux. Marianne évoque dans un écho, « L.-F. Céline devant l’échafaud » : « Très entouré par les journalistes de corvée, L.-F. Céline émit, dans une langue savoureuse, quelques propos étincelants : " C’est encore ce qu’on a trouvé de plus propre pour donner la mort, dit-il. La guillotine, voyez-vous, c’est le prix Goncourt du crime…" »
Cité dans Dictionnaire Céline, Philippe Alméras, (c)Plon 2004.
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