J'entend dire qu'il y a trop de gens sur terre,
Que la solution serait une bonne guerre ...
Alors laissez moi vous ressassez cet enfer,
Qui pour vous est loin derrière,
Mais pour moi été encore hier ...
Quand les bombes pleuvaient grondant comme le tonnerre,
Où les fantômes d'enfants blanchis par la poussière,
Hurlaient en courant, Cherchant père et mère ...
J'entend déja revenir vos prières,
celles qui me fesait couler tant de larmes de sang,
Versés par tous ces innocents,
Et quand cette haine frappera chez vous,
Quand vous sentirez la châleur des flammes caresser vos joues,
N'aurez vous pas dans la bouche ce goût amer?
Ce goût qui vous empêchera devant le miroir de rester fier ...
Assumez-vous toujours vos pensées qui étaient sincères?