chronique d'un sentiment d'une insécurité s'inscrivant dans la banalité

Publié le 30 novembre 2010 par Micheltabanou

A quelques jours d’un conseil de quartier consacré à la sécurité il est bien utile de faire le point sur l’expansion des troubles à la quiétude sociale dont est victime mon quartier. En effet il faut souligner par exemple que le nombre d’agressions pour vol de portables s’est accru. Le périmètre dépasse le quartier pour s’étendre par exemple aux alentours du lycée Louis Armand de Nogent.

Des plaintes ont été déposées.

Citons également la curieuse panne récurrente, avec intervention des sapeurs pompiers, d’un compteur électrique dans la tour du 18 au 3e étage.

Egalement aujourd’hui au 20 le feu à une poubelle conjugué à des tags odieux. Le 9 rue Robespierre : destruction volontaire du groom de la porte d’entrée qui a été ensuite projeté au dehors. Et ainsi de suite à l‘avenant dans l’installation d’un désordre qui procure une gène quotidienne et qui prend le chemin d’inquiéter plus les habitants, les locataires et d’amener certains à évoquer comme cela l’a été dit lors de la réunion publique de songer à déménager. Intolérable situation dégradante et humiliante pour ceux et celles qui sont déjà socialement les victimes d’une crise, les victimes de tous les désengagements de l’état, de l’abandon de la République dans ses obligations de sécurité, d’éducation et de service public.