Il tient à dédramatiser l'importance des révélations et affirme qu'il s'agit de pratiques courantes dans tous les pays: " Il ne faut pas croire que les ambassades à l'étranger ont des informations "top secret". Elles ne font que retranscrire ce qui s'écrit dans la presse ou se dit à la radio."
Cependant, le diplomate maintient qu'"Hillary Clinton doit une explication à la présidente argentine. Elle s'est déjà excusée publiquement mais le mal est fait. Nous attendons son coup de fil."