Les élections parlementaire égyptienne, qui ont été lancé hier par le faible taux de participation (deux heures avant la date de clôture), tel qu'adopté suprême, ont connu selon la commission pour les élections ''des occurrences d'irrégularités et des violations de la loi et des règles régissant le processus électoral''.
Le réactif Sameh, un membre de la commission, dans une conférence de premières nouvelles de la Commission, à déclaré que plusieurs irrégularités accompagné le déroulement des élections depuis les premières heures, "le plus important de ces événements sont des manifestations de violence dans certaines circonscriptions'' a t-il ajouté. Pour sa part, Mohammed Kamal, un porte-parole du Parti national, a affirmé des incidents de violence dans plusieurs circonscriptions, en refusant de lier son parti, en soulignant en même temps condamner le parti au pouvoir et toute transgression des règles juridiques régissant les élections.
Le Parti Wafd (l’opposition) à envoyé au journaliste de courts messages textuels via le téléphone mobile, dont il a souligné le siège de son parti, à Kafr Saqr à brûler, et l'attaque contre le candidat Mohamed Shehata et de la menace et l'incitation à quitter son domicile.
41 millions d'Egyptiens ont le droit de coter 508 députés pour le Conseil à l’origine de 5039 candidats et candidates. 508 sièges, une majorité pour les travailleurs et les agriculteurs parmi eux 64 sièges pour les femmes, avec la participation de 20 représentants politiques au coté des candidats libre.
Vous retrouverez cette article également sur PaperBlog