Après une mise en bouche des vins d’Alsace au salon du blog culinaire de Soissons, les voici ré-embouteillés et transportés pour nous (blogueurs) faire à nouveau chanter place de l’Opéra. Le chef d’orchestre qui anime magnifiquement cette mise au parfum chez Thierry Mugler n’est autre qu’Odile Pontillot déjà présente au salon.
L'opéra des vins d'Alsace
Introduction théorique par le président du CIVA (comité interprofessionnel des vins d’Alsace) aux reflets parisiens, avant de faire danser d’autres subtiles couleurs dans les verres.
Que la blondeur danse
Le cépage noble de l’Alsace, Riesling, se décline en vin “classique” et grand cru. Baptême d’oenologie par Odile qui communique magnifiquement les clichés comme les subtilités des vins.
Parfums fruités pour les nez
Après un crémant d’Alsace extra-sec, comparaison de 2 rieslings, étude d’un pinot gris et d’un pinot noir puis de 2 gewurztraminer. Entre reflets verts ou violacés qui expriment la jeunesse d’un vin, le comptage de caudalies pour apprécier la longueur d’un vin, l’étude des larmes… cette mise au parfum fut un délice (à consommer avec modération).
Merci aux vins d’Alsace (CIVA), à Caroline de VFC, à Odile Pontillo émérite oenologue et chef Damien qui a permis à l’Alsace de voyager à l’ouest vers nos tables et nos palais réjouis. Et vivement une nouvelle dégustation (en présence d’Yvelise !).