Je cite le site: http://www.educpros.fr, qui a pour source: un rapport (1) de l’Observatoire international de la violence à l’école de novembre 2010.
« Proviseurs et principaux trouvent à 73% que le climat dans leur établissement est bon – contre 82% six ans plus tôt – et 6% qu’il est médiocre ou exécrable. »
« Ce qui est très net, c’est la dégradation qu’ils perçoivent dans la relation entre les élèves et les enseignants « .
D’autre part selon ‘ Weka ‘ et l’enquête de victimation disponible sur le site de l’AEF :
« Si seulement 5 % d’entre eux s’estiment en « insécurité personnelle », les personnels de direction réclament malgré tout davantage d’adultes pour la surveillance des élèves et le suivi de la scolarité (21 % estiment nécessaire le renforcement du nombre de personnels de vie scolaire), ou pour leur apporter une aide spécialisée (12,4 % réclament plus d’assistantes sociales, de travailleurs sociaux et d’infirmières). Ils sont seulement 3,2 % à souhaiter des mesures techniques de sécurité (vidéo-surveillance…) ; ils misent majoritairement sur les moyens humains pour solutionner les problèmes de violence. »
Ce qui est net : « Un quart des personnels de direction déclarent ne pas être soutenus par sa hiérarchie alors qu’ils sont neuf sur dix à se sentir respectés par les parents. Ils se disent respectés par les élèves (à 95 %) et « valorisés par les enseignants » (à 70 %). » (1)
A mon avis, et pas seulement sur la question de la ‘Violence scolaire’, il serait souhaitable que ‘ notre hiérarchie ‘ qui dans tous ses discours » reconnaît le rôle primordial » que nous avons dans le système éducatif …bla bla … s’interroge sur la qualité de relation et l’utilité de nos rapports …! Je sens entre nous, comme un gros malaise … !
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